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Histoire du droit

Mon itinéraire à coeur ouvert. Mémoires

Maître Yondo Black, ancien avocat à la Cour à Caen, s'inscrit au Barreau naissant du Cameroun en 1971 et en devient le bâtonnier de 1982 à 1986. Sa passion pour l'avocature et son attachement à la sanctuarisation des lettres de noblesse de cette profession relèvent autant d'une inclination naturelle à défendre la veuve et l'orphelin que d'une quête viscérale de justice qui le porteront dès sa prime jeunesse au coeur des grandes batailles émancipatrices et humanistes qui engagent le Cameroun autant que l'Afrique. Dans ses Mémoires, le lecteur ira à la rencontre de quelques pages de l'histoire du Cameroun, de son appareil judiciaire, de l'avocature dont il est l'un des pionniers, à la découverte d'un homme qui est autant d'un terroir que d'une nation, un citoyen résolument engagé dans les affaires de la cité pour la justice et la défense de l'intérêt général.

11/2021

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Droit

La biodiversité partagée

La biodiversité si riche des Outre-mer, en attisant les convoitises, a donné naissance à la bio piratrie, qui consiste en une appropriation non équitable de ces richesses, tant animales que végétales, tant terrestres que tsarines. Le droit, d'abord international, puis local et national, cherche les solutions d'une protection suffisante en évitant l'excès de la sanctuarisation de la nature, et d'un partage équitable des avantages résultant d'une valorisation de ces ressources biologiques, pour une biodiversité réellement partagée. Les solutions adoptées en Polynésie française, non satisfaisantes, devaient être mises en perspective, à travers un échange constructif entre chercheurs juristes ou scientifiques, entreprises, hommes politiques, administrations et populations locales détentrices des savoirs traditionnels si précieux dans l'utilisation des richesses naturelles. A l'image du pont de corail illustrant la convenue de cet ouvrage, c'est un partage d'idées et d'expériences entre ces différentes communautés qui ont nourri une journée d'étude organisée par l'Université de la Polynésie française et qui alimentent aujourd'hui l'ouvrage éponyme La biodiversité partagée.

04/2020

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Droit constitutionnel

Le désastre sénégalais. A l'ombre des décombres

Des deux alternances à l'actuelle configuration semblable à une cohabitation parlementaire, le rapport de force s'est toujours structuré par une propension à caporaliser les institutions de la République du Sénégal aux fins de manoeuvres politiciennes. La sublimation des esprits moyens sous le règne de Senghor et de Diouf, suivie de la sanctuarisation de l'appareil d'Etat au profit de beaucoup de médiocres sous Wade et Macky Sall, ne sauraient offrir aucune autre issue que la situation électrique que nous vivons. Elle est la résultante d'un laisser-aller qui a amoncelé des drames et tragédies, individuels et collectifs. C'est ainsi que le ver de la concurrence, au sein de laquelle le mérite est éprouvé par la gravitation des ambitions vers la réussite sociale, s'est incrusté dans nos pores sociaux et s'est commué en épiderme de notre corps politique, rompant les chaînes de solidarité. La coupe semble désormais pleine pour ce peuple, longtemps bercé d'illusions par une "élite" incapable de lui donner satisfaction.

03/2023

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Sciences politiques

La nouvelle idéologie française

Depuis environ vingt ans, tout le monde en France se réclame à nouveau de la République et de ses valeurs. Aucun mot n'est mieux porté, à droite comme à gauche. L'identification à la République est devenue l'épine dorsale de notre identité nationale. Le modèle républicain correspond, pour l'essentiel, à cette exception française dont nous sommes si fiers. Sous ses dehors généreux et ses prétentions à l'universalité, ce néorépublicanisme est pourtant un discours mystificateur. Il fournit à la société française de bonnes raisons de s'aveugler sur elle-même et d'entretenir en toute mauvaise foi l'illusion de sa supériorité. Il inspire des réflexes de repli chauvin et des décisions politiques aussi déraisonnables qu'inefficaces. Il offre une lecture du passé et du présent totalement déformée. Laïcité, anticommunautarisme, nation civique, identité nationale, sanctuarisation de l'école : La nouvelle idéologie française dénonce les leurres cachés derrière le pathos arrogant de ce discours. Un regard sur ce qui se passe chez nos voisins européens permet en outre de s'assurer que nous n'avons pas l'apanage des réponses aux défis du temps.

09/2010

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Religion

Petit guide des égarés en période de crise

L’acédie, définie par les Pères du désert au IVe s. comme la plus terrible des maladies de l’âme, hante notre modernité par¬venue à son zénith : le monde de l’entreprise, le couple, la vie familiale, les amitiés. Le vide politique, les paroles creuses, les promesses sans lendemains, les vaniteux comme modèles, la dictature du « on », la finance qui dépasse la démocratie, les pervers narcissiques aux commandes… La course au toujours-plus et au toujours-plus-vite a engendré le Rien. L’acédie, maladie de l’ego qui vide l’âme, est celle du monde contemporain en crise. « Dans l’acédie, continue de tresser tes paniers. Pose des actes d’amour même si tu as perdu foi en l’amour ! » Ainsi parlaient les Pères du désert. La perte de soi, l’insensibilité à autrui, le temps qui suspend son vol dans un ennui mortel sont en réalité une rupture avec la profondeur de l’existence. Seuls le rite et la régu¬larité permettent de rompre l’acédie. Sans la sanctuarisation d’espaces désintéressés d’amitié et de paix, la fraternité s’épuise ; en réalité, la bénédiction généreuse de la vie la fertilise. Ainsi, la crise peut ouvrir la porte d’un autre monde. Alors, notre existence jaillit en plénitude, du présent surgit l’éternité, nos errances d’éga¬rés font chemin, ensemble, vers la liberté.

01/2012

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Histoire internationale

Israël. La fabrique de l'identité nationale

U n foyer, un peuple, une nation. Eretz Israël, ou le royaume promis par Dieu aux juifs dispersés sur la terre. Une espérance plurimillénaire devenue réalité au XXe siècle, portée par un messianisme sécularisé, le sionisme, et concrétisée par un puissant levier d'assimilation, trop souvent négligé par les historiens: l'éducation. Car le sionisme fut d'abord et surtout un projet pédagogique, réunissant dans un même idéal des juifs venus d'Europe, d'Asie et d'Afrique. Le mouvement lancé par Herzl réussit à faire d'eux les citoyens d'une nation homogène, partageant la même vision de l'histoire juive et le sentiment d'un destin commun - en dépit des tensions internes entre croyants et laïques, populations ashkénazes et sépharades, centre et périphérie. Avner Ben-Amos explique comment ce formidable défi a été relevé. Si l'école a joué un rôle fondamental, d'autres moyens ont accéléré la formation de cette conscience nationale : cérémonies commémoratives, monuments, musées d'histoire, programmes télévisés. Le dialogue sans cesse renouvelé avec le passé, les perpétuels réaménagements de la conscience collective, la mobilisation constante des moyens de communication rendent possible le maintien de cette identité, fondée sur une interaction complexe entre intégration et exclusion. Malgré le retour en force des particularismes et la sanctuarisation des mémoires particulières, ce sentiment national reste vivant par la stigmatisation d'un ennemi commun: les Arabes.

05/2010

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