Recherche

souveraineté

Dossiers

Extraits

ActuaLitté

Actualité médiatique France

Nécessaire souveraineté

" Coralie Delaume connaissait mieux que quiconque cette forfaiture intellectuelle qui consiste à assimiler le "souverainisme' (le suffixe en lui-même n'est là que pour faire de ce mot un stigmate) à un identitarisme. Alors que la souveraineté n'est que l'autre nom de la démocratie, faire de sa défense une forme de nationalisme et de "fermeture à l'autre' (selon le vocabulaire en vigueur) permet de maquiller en noble ouverture le contournement systématique de toutes les institutions démocratiques par des instances "indépendantes', c'est-à-dire non élues. Pendant des années, à travers ses articles, ses interviews, Coralie a dévoilé cette trahison opérée notamment au nom de l'idéal européen. (...) Toute chose qu'elle faisait avec une précision chirurgicale. (...) Reste aujourd'hui ce texte, qui embrasse sa pensée, qui pose des jalons et trace un chemin pour quiconque, parmi les gouvernants, aurait l'ambition de perpétuer la France et la République. Ce texte, et tous les autres, comme une obligation, pour ceux qui restent, de ne pas laisser se défaire encore un peu la démocratie. Pour que nous poursuivions, à notre tour obstinés, le combat contre l'hypocrisie, les forfaitures et les mensonges, ces fantômes devant lesquels Coralie Delaume a jusqu'au bout refusé de s'incliner. " (Natacha Polony)

09/2021

ActuaLitté

Sociologie

Civilisation et souveraineté

L’auteur a spécialement élaboré un indicateur de mesure de la souveraineté et de la déliquescence de nation. Son étude porte sur l’observation des diverses civilisations à travers le monde et dans l’histoire. Il met en évidence l’importance de l’affirmation de la souveraineté, afin de pérenniser la prise en compte de la dite nation à l’échelle mondiale. D’après ses travaux menés avec la collaboration de spécialistes en question politique de l’ICPR (traduction en français CIRP, Cercle International de Réflexion Politique), il déclare que les civilisations sont les expressions majeures de l’humanité. Et d’ajouter, que de nos jours, l’enjeu entre les différentes civilisations n’est plus uniquement une question de supériorité dans le cadre d’une opposition avec des frontières physiquement délimitées. Mais d’avantage, un nouvel enjeu dont la question de supériorité se pose en termes d’influence en tout point de vue.

09/2012

ActuaLitté

Philosophie du droit

Nature et souveraineté

La modernité nous présente un homme réduit à la dimension d'un sujet devant une nature ravalée au rang d'objet. Il faut sans doute remonter à la fondation du politique et de la culture occidentale pour repérer les premiers pas d'un homme qui repousse la nature pour mieux s'élancer à sa conquête. Platon indique déjà le chemin à suivre. Sortir de la caverne, terrain des compromis et des apparences. S'extraire de la cité et de son milieu, pour se diriger vers le "sol" enfin ferme des Idées et pour en ramener des lois qui apporteront la lumière et l'ordre en ces lieux obscurs et déshérités de la vie publique. Cette tradition occidentale d'un pouvoir en surplomb, d'une légalité qui gouverne les hommes et les choses, introduit la grande séparation de l'homme et de la nature. Les théories modernes du droit naturel politisent la séparation. Elles spéculent sur l'origine du politique et elles imaginent des hommes quittant l'état de nature pour chercher refuge dans la société. Le politique ne semble concerner que des hommes qui doivent tomber d'accord. Le monde commence son éclipse. Le contrat social devient la terre promise ou la nature se cantonne à un individu : car le droit à la conservation ou la liberté capte toute la nature disponible. La Révolution et la Déclaration des droits de l'homme donneront le maximum d'étendue politique et juridique à cette orientation anthropocentrique. Tout homme accède à la qualité de sujet de droit et, bien longtemps après la découverte romaine de la personnalité, cherche à briser les chaînes d'un pouvoir qui devra se réinventer démocratique. L'homme s'arroge des droits et il laisse le monde à l'extérieur du projet politique ou avec le statut d'objet. D'un côté, une nature inerte ou presque, et en tout cas sans esprits et sans droits. De l'autre, un homme, ses lois et une volonté de dominer. Car la natureobjet doit se conformer à ses besoins. Cette domination n'est pas simplement évidente ; elle s'élève jusqu'au conflit contre des éléments que l'humain devrait vaincre pour se réaliser. Selon Jules Michelet : "Avec le monde a commencé une guerre qui doit finir avec le monde, et pas avant ; celle de l'homme contre la nature, de l'esprit contre la matière, de la liberté contre la fatalité... La nature reste la même, tandis que chaque jour l'homme prend quelques avantages sur elle" .

02/2021

ActuaLitté

Sciences politiques

Souveraineté et néolibéralisme

La souveraineté est-elle l'antidote au néolibéralisme qui a servi de paradigme aux politiques publiques occidentales depuis les années 1980 ? Ou n'est-elle, au contraire, qu'un élément de son déploiement ? Une union européenne post-souveraine peut-elle nous faire sortir du néolibéralisme ? Sur ces questions au cÅur de notre actualité politique, un regard interdisciplinaire réunissant parmi les meilleurs spécialistes de ces questions.

06/2023

ActuaLitté

Multimédia

La souveraineté numérique

L'essor des nouvelles technologies pose d'importants problèmes de souveraineté. Les grandes entreprises du secteur, notamment les GAFAM et leur homologues chinois BATX, utilisent leur taille et leur pouvoir de marché pour violer la souveraineté des Etats en imposant leurs règles ou en influençant la création des lois en fonction de leurs intérêts. Ingérence dans les politiques publiques, perturbation du débat démocratique au moyen d'algorithmes, privatisation du droit, contournement des législations nationales : les atteintes à la souveraineté sont multiples. Or, le débat actuel sur la souveraineté numérique se limite souvent à un aspect assez marginal : le lieu de stockage des données. Cet ouvrage brosse un panorama des problématiques que soulève la révolution technologique et présente des propositions, en matière de droit ou d'infrastructures, pour rétablir cette souveraineté et la pérenniser.

11/2023

ActuaLitté

Faits de société

La souveraineté numérique

« La mondialisation a dévasté nos classes populaires. L'Internet va dévorer nos classes moyennes.La grande dépression que nous connaissons depuis cinq ans n'est qu'un modeste épisode en comparaison du cataclysme qui s'annonce.La France et l'Europe n'ont aucune maîtrise sur cette révolution. L'Internet et ses services sont contrôlés par les Américains.L'Internet siphonne nos emplois, nos données, notre vie privée, notre propriété intellectuelle, notre prospérité, notre fiscalité, notre souveraineté.Nous allons donc subir ce bouleversement qui mettra un terme à notre modèle social et économique.Y a-t-il pour nous une alternative ? Oui.C'est l'ambition de ce travail que de nous en donner la chance. »P. B.

01/2014

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté