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Dossier

La collection de livres audio chez Actes Sud

AUDIOLIVRE – La lecture à haute voix, par les auteurs ou par les comédiens, fait depuis longtemps partie de la culture d’Actes Sud. Au-delà du livre imprimé, il s’agit de continuer à servir les textes, de les faire découvrir sous une autre forme, celle de l’oralité.

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Dossier

Auteurs sans éditeurs, éditeurs sans auteurs ? Un podcast en 4 épisodes

Auteurs sans éditeurs ? Éditeurs sans auteurs ? Toute ressemblance avec un article ou un livre déjà paru n’est pas fortuite. D’ailleurs, le papier de Jérôme Lindon n’a pas pris une ride depuis 1998. Arrêtons-nous un instant sur sa conclusion dans les colonnes du monde : « [La] transformation du paysage de l’édition tend inévitablement à priver de toutes chances d’être lues, et par conséquent d’être publiées, les nouveautés d’exception qui ne répondent pas aux critères de valeurs en vigueur au moment où elles voient le jour. Mais qui remarque l’absence d’un auteur inconnu ? »

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Dossier

Affaire Renaudot : un auteur autoédité chez Amazon qui dérange

Depuis 1926, le prix Renaudot n’aura jamais autant fait parler de puis qu’en cette édition 2018. La présence d’un ouvrage autopublié chez Amazon, manifestement chouchou de Patrick besson, fait désordre. 

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Dossier

Livres, actualités : tout sur J.R.R. Tolkien

Né le 3 janvier 1892 en Afrique Sud, J.R.R. Tolkien est aujourd'hui reconnu comme l'un des plus importants écrivains de fantasy. Auteur de la trilogie Le Seigneur des Anneaux, il a créé autour de celle-ci tout un monde, des langues, une histoire, différents peuples et races, ainsi qu'une mythologie qui, tous, ont inspiré d'autres œuvres et créateurs.

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Dossier

Association Charte des auteurs et illustrateurs jeunesse

Fondée en 1975, la Charte des auteurs et illustrateurs jeunesse se consacre à la défense des écrivains, tant dans leurs créations que dans leurs droits. L’association compte plus de 1000 membres, dont l’activité éditoriale représente 1500 ouvrages publiés chaque année. 

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Dossier

De l'auteur à la création : le rapport Racine, une nouvelle politique publique

141 pages de constats, d’observations, de commentaires, découlant des différentes auditions menées ces derniers mois : le rapport de Bruno Racine fait office de pavé dans la mare, lancé depuis les hauteurs de la tour Montparnasse. Et le ministre de la Culture, Franck Riester, se laisse encore quelques semaines avant de présenter les mesures qui en découleront.

Extraits

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Sociologie

Islamophobie. Intoxication idéologique

Le concept d'islamophobie est un leurre, une illusion, une intoxication ! Il complique ce qui est simple, il obscurcit ce qui est clair. Il entretient le ressentiment au lieu de favoriser la concorde. Il pousse à la sécession au lieu d'encourager le rassemblement. Pour rendre meilleur les rapports entre l'Occident et le monde de l'islam, il faut échapper à cette manipulation et cultiver un regard de vérité. Une telle clarification n'aiderait-elle pas le monde musulman à s'interroger sur lui-même ? En faisant croire aux musulmans qu'ils sont des victimes systématiques, ne les prive-t-on pas de leur sentiment de responsabilité ? Pour la première fois, Philippe d'Iribarne apporte un éclairage et des réponses concrètes. Philippe d'Iribarne est directeur de recherche au CNRS. Depuis son ouvrage majeur, La Logique de l'honneur (Le Seuil, 1989), Philippe d'Iribarne s'intéresse particulièrement au lien entre les religions et la modernité. Il est traduit en dix langues, dont l'arabe et le turc.

04/2019

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Actualité politique France

Islamophobie, mon oeil !

" Le terme islamophobie est mal choisi s'il doit désigner la haine que certains tarés ont des musulmans. Il n'est pas seulement mal choisi, il est dangereux. " Charb Rachid, Mourad et Younès se sont rencontrés dans un forum de discussion sur internet. Un jour, ils ont fait le choix de rompre avec l'emprise de leurs milieux et de couper avec leurs idéologies nauséabondes. C'est là que leurs ennuis ont commencé. Aujourd'hui, ils mènent une double vie, n'osant point afficher leurs convictions. La noble tâche d'enseigner dans une école à discrimination positive au coeur de Bruxelles vire au cauchemar. Dans cette institution, l'écrasante majorité des enseignantes musulmanes y sont voilées et celles qui ne le sont pas cheminent avec mille et une contraintes. Les enseignants qui ne sont pas musulmans sont systématiquement taxés de racistes s'ils émettent la moindre réserve sur le voile ou sur l'islam. A Bruxelles, il est plus facile pour un salafiste de déambuler dans la ville, affichant sans gêne les symboles de son orthodoxie, que pour un laïque musulman de boire un café en plein mois de ramadan dans certains quartiers fort communautarisés. Comment en est-on arrivé là ? Pourquoi n'aurait-on pas la possibilité d'avoir des sentiments personnels, une trajectoire personnelle, des choix personnels, de croire ou ne pas croire en Dieu, d'embrasser l'être désiré, dès lors qu'on est né musulman ? C'est cette histoire que Djemila Benhabib souhaite vous raconter, à travers les témoignages de laïques ayant un héritage musulman. Le constat que ces témoins directs dressent de la poussée de l'islam politique est plus que préoccupant. Dans notre pays comme ailleurs en Europe, l'islamisme avance à bas bruit, dévoilant au grand jour la fragilité de nos démocraties. Du point de vue d'une certaine gauche identitaire, critiquer l'islam revient à stigmatiser les musulmans (considérés comme un bloc homogène), et le facteur culturel invoqué incite à moduler les droits et libertés pour les rendre " compatibles " avec l'idée qu'on se fait de " l'identité musulmane " . De l'autre côté, l'extrême-droite a trouvé un boulevard pour s'emparer de ces sujets " chauds " et démontrer l'échec de l'intégration musulmane. Une voix manque cependant à l'appel : celle des laïques musulmans. Rien n'est fait pour accueillir leur parole dans l'espace public. Bien au contraire, tout est mis en place pour les dissuader de s'exprimer. La marche arrière est enclenchée. Jusqu'où ira-t-on dans nos compromissions, dans nos " accommodements raisonnables " , face à ce qu'on pourrait, désormais, appeler " le droit de ne pas être dérangé " ? La critique de l'islam politique ne relève pas du racisme. Il faut résister à cette imposture pour sortir de la confusion. " Djemila Benhabib " Un nouveau mot a été inventé pour permettre aux aveugles de rester aveugles : l'islamophobie. " Salman Rushdie

04/2022

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Religion

Djihadisme, radicalisation et islamophobie en débats

Les recherches sur les phénomènes de radicalisation islamique qui furent très actives entre 2015 et 2020 donnent l'impression de s'essouffler. La littérature sur la radicalisation islamique devient moins abondante. En effet, les revers militaires que l'Etat islamique (EI) a connus et, par ricochet, l'affaiblissement de sa capacité de nuisance et de mobilisation en Occident ont conduit un certain nombre de chercheurs à se détourner de cette question. Il demeure que la menace jihadiste perdure, en dépit du déclin de l'EI et de son démantèlement. Pour preuves, les attentats qui ont eu lieu en France et en Suisse ces deux dernières années. C'est en considérant cette récente réalité que nous avons décidé de réunir les communications présentées lors d'un colloque international sous le titre "La radicalisation dans tous ses états " , organisé en 2018 par la Chaire d'enseignement et de recherche interethniques et interculturels (CERII) de l'Université du Québec à Chicoutimi et le Centre de recherche Cultures-Arts-Sociétés (CELAT). Force est de constater que, trois ans après, le sujet est toujours d'actualité et mérite de continuer à faire l'objet d'une réflexion à la fois empirique et théorique. Bien que les articles aient été, en grande majorité, écrits avant le déclin de l'EI, ils conservent leur pertinence. Loin d'être dépassés, ils sont toujours présents et contribuent même à donner une " perspective heuristique " aux phénomènes de violence islamique, trop souvent tributaires d'analyses réalisées à chaud.

01/2022

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Sociologie

Antisémitisme et islamophobie. Une histoire croisée

En France, le seul emploi du mot "islamophobie" provoque des froncements de sourcils, du fait de la campagne soutenue menée par une grande partie de l'intelligentsia et des médias pour le discréditer et nier la réalité objective qu'il propose de décrire. De la même manière, l'idée qu'il puisse exister des similitudes entre l'antisémitisme et l'islamophobie soulève les passions, car elle semble s'attaquer au principe de l'unicité de la Shoah et à la théorie de la "nouvelle judéophobie" . Malgré cette hostilité, les travaux sociologiques et historiques portant sur l'islamophobie moderne ont connu de grandes avancées ces dix dernières années. Beaucoup d'entre eux soulignent que les musulmans sont racialisés, au prétexte non pas de différences morphologiques ou "biologiques" , mais de caractères culturels et religieux. Les juifs d'Europe ayant été le premier groupe religieux à être perçu et représenté comme une race distincte, une étude croisée avec l'antisémitisme s'impose comme l'une des approches les plus adéquates. Ce livre propose une synthèse historique et théorique rigoureuse à l'usage du grand public. Si son objectif principal est d'élucider la relation exacte entre la racialisation du juif et celle du musulman en Occident du milieu du xixe siècle à nos jours, il voudrait également fournir un cadre théorique pour une approche globale des différentes formes de racisme.

08/2021

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Actualité et médias

Un racisme imaginaire. Islamophobie et culpabilité

Depuis 35 ans, le terme  d'islamophobie impose la censure à toute parole critique de l'Islam. Vieux mot de l'époque coloniale, il a été réinventé et transformé en arme de guerre par les mollahs iraniens qui ont fait de la foi du Prophète un objet intouchable. Islamophobie amalgame en effet deux sens : la persécution des croyants, qui est un délit ; la remise en cause d'une religion, qui est un droit absolu. L'usage de ce terme répond lui aussi à un double objectif : faire taire les Occidentaux mais surtout les Musulmans réformateurs soucieux de relire les textes sacrés, de modifier le code de la famille, d'introduire modération et tolérance dans l'exercice de la foi. Ce sont ces traîtres, ces apostats potentiels qu'il faut foudroyer en les renvoyant dans les ténèbres du racisme. Or une grande religion comme l'Islam n'est pas une race puisqu'elle a une vocation universelle. Lui épargner l'épreuve de l'examen, entrepris depuis des siècles avec le christianisme, ce n'est pas l'aider à  mûrir, c'est l'enfermer dans ses difficultés actuelles. Ce paternalisme est encouragé par toute une partie des gauches intellectuelles, trop heureuses de trouver dans l'Islam le dernier bon sujet de l'Histoire, après la classe ouvrière, le tiers monde et les damnés de la terre. On explique donc, au prix d'un raccourci stupéfiant, que l'islamophobie est la suite de l'antisémitisme des années 30, que le "musulman" est aujourd'hui la victime absolue du monde occidental et que les attentats dont nous pâtissons, en France ou ailleurs, sont le résultat  de notre attitude vis à vis des femmes et hommes de cette confession. Démonter ce racket sémantique, réapprendre à bien nommer les choses et à dénoncer les abus, réévaluer ce qu'on appelle "le retour du religieux" et qui paraît plutôt un retour du fanatisme, tels sont les objectifs de cet essai qui est la suite de La tyrannie de la pénitence paru en 2006.

02/2017

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Religion

Antisionisme - Judéophobie - Islamophobie. Quelques mises au point

Au point de départ de ces Mises au point, l'indignation provoquée par un Manifeste contre un nouvel antisémitisme lancé en avril 2018. S'appuyant sur les crimes odieux perpétrés sur des concitoyens de religion ou de culture familiale juive ces dernières années, il décrit un tableau apocalyptique de la situation dans notre pays. Il en attribue de façon scandaleuse la responsabilité aux jeunes Musulmans comme groupe social et à ladite "gauche radicale", qu'il stigmatise comme porteurs contemporains d'un antisionisme qui ne serait que le visage moderne d'un "antisémitisme éternel". Cette campagne, largement entamée dans la France des années 1980, ne vise pas seulement à délégitimer la lutte nationale du peuple palestinien, rendu étranger en son propre pays. Elle s'insère dans les crispations identitaires qui marquent la situation présente, en cherchant à détourner les luttes sociales qui s'y développent dans une direction islamophobe, stérile et dangereuse. Occasion était donnée de préciser les notions de racisme, pris en général comme dans ses formes particulières, de Sionisme et d'antisionisme, de judéophobie et d'antisémitisme, enfin d'islamophabie. Il fallait, pour ce faire, les évaluer dans le contexte des aventures impérialistes des XIXe-XXe siècles, de leurs fruits empoisonnés à l'échelle internationale et de leurs effets délétères encore manifestes dans notre société. Et il était utile d'opérer de façon comparative, non seulement dans notre société, mais encore dans les sociétés arabes, et qui plus, en rapport avec les religions juive et chrétienne, dans l'Islam aujourd'hui mis sur la sellette.

06/2019

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