Recherche

télévisuelle

Dossiers

Extraits

ActuaLitté

Pédagogie

Le jeune enfant devant les apparences télévisuelles

Quel sens des enfants âgés de quatre à six ans donnent-ils aux mots : informations, dessin animé, film, publicité ? Comment reconnaissent-ils l'existence des personnages sous la diversité de leurs apparences ? Que comprennent-ils de la mort présentée sous forme d'images ? Qu'est ce que l'espace ? Est-ce pour eux un produit de fantaisie ? A-t-il une réalité extérieure aux apparences télévisuelles ? Le vécu télévisuel de ces enfants révèle combien ils peuvent être prisonniers des apparences. Mais il témoigne également de la richesse créative de leur imaginaire : ils puisent par imprégnation de nouveaux motifs d'expression. Ce livre s'adresse aussi bien aux parents qu'aux enseignants, comme à tous ceux qui souhaitent comprendre l'impact profond de la télévision sur de jeunes enfants.

05/1994

ActuaLitté

Littérature française (poches)

Einstein, le sexe et moi. Romance télévisuelle avec mésanges

Top ! Je suis un garçon fougueux, Normalien et autiste Asperger. Mon enfance n'a pas toujours été rose à cause de ma différence. Je suis fasciné par les dates et calcule le produit de 247856 par 91 pour m'endormir. En 2012, j'ai participé à l'émission Questions pour un champion, une expérience libératrice. Entre deux épreuves, je trempe toujours une madeleine dans du coca... Je suis... Je suis... Olivier Liron ! Oui !

08/2019

ActuaLitté

Télévision, radio

Le dispositif télévision. Aux sources de la création télévisuelle

Les décennies 1935-1955 correspondent à ce que l'on a appelé le moment expérimental de la télévision. Au cours de ces années, le média émergent s'affirme progressivement face à la radio et au cinéma, et acquiert une légitimité institutionnelle. Dans le même temps, les premiers professionnels cherchent à étayer l'hypothèse d'une spécificité de son langage. C'est en grande partie à cette période que sont consacrés les textes réunis dans ce volume. Dans quel contexte le discours sur la spécificité télévisuelle s'est-il élaboré ? Quelle a été la contribution respective des professionnels concernés ? En un mot, qu'est-ce que la télévision représentait pour ceux qui l'inventaient ?

11/2021

ActuaLitté

Cinéma

Esprit de fantaisie, esprit de rigueur. La création télévisuelle selon Jean Frapat

Jean Frapat a pris la télévision comme champ d'expérimentation et comme espace de création, produisant ce qu'on peut considérer comme une oeuvre singulière, à la croisée des chemins de la littérature, du théâtre, de l'éducation populaire, du cinéma et des arts plastiques, ressaisis sous l'oeil et au risque de la caméra. Digne compagnon du Service de la recherche de Pierre Schaeffer, il est parvenu à établir un équilibre entre une réflexion sur le langage télévisuel et les impératifs économiques de l'industrie des médias. Cet essai met en évidence la dimension transdisciplinaire de ce travail. Il rassemble des témoignages de collaborateurs et d'amis tels que Michel Hermant, Claude Guisard, Claude Villers, qui formulent une analyse fine de l'univers anachronique de Jean Frapat, tout en retraçant une autre histoire de la télévision, savante et populaire, celle que décrivait Roberto Rossellini dans ses écrits, ou que François Mauriac célébrait dans sa critique télévisuelle. Il propose aussi des contrepoints inattendus : des artistes contemporains - Vincent Labaume et Olivier Bardin - reviennent chacun à leur manière sur l'influence de Frapat sur leur parcours et leur travail. Enfin, Pascale Cassagnau traque les homologies entre la production de Frapat et les oeuvres d'artistes comme Matthieu Laurette, Gianni Motti et Valérie Mré-jen - témoignages de l'influence méconnue d'une certaine télévision sur la création contemporaine. Cet ouvrage est illustré par l'écrivain et artiste Vincent Labaume, qui fut lui-même producteur à France Inter, et qui propose une relecture de l'univers de Jean Frapat et un hommage à son oeuvre.

01/2020

ActuaLitté

Histoire internationale

Le jour où la Belgique a disparu. Retour sur un moment clé de l'histoire télévisuelle

Le 14 décembre 2006, la première chaîne de la télévision belge francophone présente une émission intitulée " Bye Bye Belgium ". Si la RTBF a clairement annoncé qu'il s'agissait d'une fiction, la forme de cette fausse émission d'actualité - le plateau du journal télévisé, son présentateur vedette, l'intervention d'hommes et de femmes politiques, des micro-trottoirs... - fait croire à de nombreux téléspectateurs que ce qui est annoncé - la fin de la Belgique et la déclaration d'indépendance de la Flandre - est une réalité qui justifie bien une édition spéciale du JT. La comparaison avec la fameuse émission de radio d'Orson Welles, qui annonçait, en 1939, la Guerre des Mondes, est évidente. Comment une chaîne de télévision publique a-t-elle pu réaliser une telle émission ? Imagine-t-on, en France, que le présentateur du JT de France 2, avec la complicité d'élus, puisse annoncer l'indépendance de la Corse ? Ou que dans la Russie de Poutine, la télévision tchétchène diffuse une fausse déclaration d'indépendance du Parlement ? " Bye Bye Belgium " opère une alchimie stupéfiante entre information et fiction. Véritable moment de gloire de la télévision, l'émission a provoqué une prise de conscience publique. Quant à la réalité qui a suivi, et dont la longue formation d'un gouvernement fédéral belge a été l'illustration, elle a, selon la formule consacrée, parfois dépassé la fiction. Un tel " traitement " a enflammé les débats sur le rôle de la télévision : on lui a reproché d'avoir manipulé l'opinion en propageant une fausse nouvelle, tout en lui reconnaissant une inventivité exceptionnelle ; on a critiqué la spectacularisation de l'information. En racontant la fiction de la fin de la Belgique selon un mode narratif, mais avec les moyens utilisés pour décrire des faits, " Bye Bye Belgium a ouvert un nouveau territoire télévisuel. Une nouvelle façon de raconter une histoire. Mais une histoire belge.

01/2012

ActuaLitté

Communication - Médias

La décence télévisuelle au temps du Général. Violence, sexe et humour sur le petit écran des années 1960

Qu'était-il décent de dire et de montrer sur le petit écran des années 60 ? Quelles étaient les images dangereuses qu'il convenait de soustraire au regard des téléspectateurs les plus fragiles ? Le présent ouvrage décrit le dispositif de régulation et d'avertissement que la RTF mit en place très rapidement, dès la fin des années 50, afin de les protéger de l' "effraction" télévisuelle. A partir de l'analyse des polémiques récurrentes, et répétitives dans leurs argumentaires, qui défrayèrent la chronique à intervalles très réguliers - sur la violence de telle scène, l'érotisme insupportable de telle autre ou sur l'humour jugé trop noir de telle ou telle réplique - il convenait de s'interroger sur les véritables enjeux de ces "affaires" souvent mises en scène, voire instrumentalisées par un certain nombre d'acteurs institutionnels ou médiatiques. L'auteur met ici en évidence les questionnements inquiets de la société française des Trente Glorieuses

06/2022

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté