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Dossier

Voir, vivre, cohabiter : humains, avant tout chose

Dans un monde en constante évolution, où la technologie prend de plus en plus de place, il est essentiel de se rappeler de l'importance de l'humanité. Voir, vivre et cohabiter sont trois verbes qui définissent notre existence. Mais comment ces actions sont-elles influencées par les livres, outils intemporels de la connaissance?

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Dossier

Conseils de lectures : chaque semaine, “Les lecteurs en parlent”

Parce que le bouche-à-oreille reste l’une des recommandations favorites des lecteurs, ActuaLitté a initié avec le réseau social Babelio une nouvelle chronique. Un rendez-vous hebdomadaire qui recense les quinze ouvrages qui intriguent, attirent, fascinent... Votre Pile À Lire n’est pas prête de prendre fin !

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La famille, ce port d'attache parfois trop attachant

La famille, ce mot si universel, évoque en chacun de nous des images, des souvenirs et des émotions. Pourtant, sa signification et sa structure varient étonnamment d'une culture à l'autre. Voyageons à travers le vaste monde des familles et découvrons les mille et une façons de former ce précieux noyau social.

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Dossier

Le Prix Interallié

Créé en 1930, le Prix Interallié fait partie des fameux prix de la rentrée littéraire : il est remis chaque année, au cours de l'automne, à un roman français. Le prix n'est pas doté financièrement, et il est décerné au sein du Cercle de l'Union interalliée, cercle social parisien fondé en 1917.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Michel Houellebecq

Révélé avec Extension du domaine de la lutte, publié en 1994 par les Éditions Maurice Nadeau, Michel Houellebecq, né Michel Thomas en 1956 ou 1958 selon ses propres dires, a cultivé le mystère tout au long de sa carrière : après ce premier roman remarqué, il publie Les Particules élémentaires (1998), puis Plateforme (2001), alors qu'il vient de s'exiler en Irlande.

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Dossier

Roman, nouveautés : les livres de Muriel Barbery

Muriel Barbery est née en 1969 à Casablanca (Maroc). Normalienne, agrégée de philosophie, l’autrice connut un succès immense en 2006, avec son roman L’élégance du hérisson, une satire sociale pleine d’humour et de finesse, adaptée au cinéma et plusieurs fois primée. Depuis son premier roman, elle se confronte aux nuances de l’altérité. Aucun endroit, aucun paysage, aucun personnage ne pouvait lui offrir un tel territoire d’imaginaires et de sensibilités.

Extraits

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Ethique

Euthanasie, un progrès social ?

L'euthanasie est un progrès social. Ce discours, répété depuis des années, est souvent présenté comme une évidence. Considérée comme un nouveau droit, la mort provoquée est défendue par une partie importante de la gauche. Loin d'être un progrès, l'euthanasie ne serait-elle pas plutôt une régression ? Avatar du libéralisme et de la mentalité capitaliste, la mort provoquée vient percuter de plein fouet nos valeurs communes. Pour Isabelle Marin et Sara Piazza, elle ne rendra pas plus digne celui qui demande à mourir, mais au contraire le confortera dans l'idée que son existence est négligeable, en l'assujettissant à des injonctions sociales et économiques rapportant la dignité des personnes à leurs performances et leur utilité pour la société. Pour elles, il est temps que les forces de gauche arrêtent de se fourvoyer dans ce combat qui leur est contraire pour renouer, enfin, avec un idéal humaniste et social.

09/2023

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Religion

Progrès social et révolution

L'auteur révèle l'effrayante cohérence d'une conception de la dialectique qui privilégie la négation sur l'affirmation et conduit à la destruction. La révolution sera d'abord métaphysique ou elle ne sera pas.

01/1983

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Actualité politique France

Le progrès social et humain

Le mot "progressiste" est employé à tort et à travers parfois par ceux-là mêmes qui créent les conditions de la régression sociale. Nous le revendiquons dans son sens réel : nous sommes les partisans du progrès social et humain. Le progrès social a été stoppé net avec la défaite de Lionel Jospin en 2002. Depuis, aucune mesure pour les travailleurs n'a permis d'améliorer les conditions de travail, aucune avancée nouvelle pour les droits sociaux. Au contraire, nous avons assisté à une casse du code du travail, la Sécurité sociale a subi les pires assauts, les services publics ont été affaiblis et dévalorisés. Nos biens communs, ce patrimoine collectif constitué par chaque génération, sont vendus à la découpe créant hausse des prix, abaissement des services, destruction d'emplois et enrichissement des actionnaires. Tous, nous en subissons les conséquences tout particulièrement depuis le début de la pandémie de Covid-19. Mettons un terme à cette régression généralisée. Ce troisième cahier porte une grande ambition : le plein emploi. Nous voulons sortir des logiques consistant à maltraiter et à exploiter les personnes dans le travail pour servir les actionnaires. Le travail ne doit pas être une souffrance mais une activité utile à toute la société. Ainsi, chacun doit avoir accès à l'emploi privé et public. Si le marché privé est dans l'incapacité de créer des emplois, nous proclamons que la puissance publique peut le faire car nous avons besoin de centaines de milliers de recrutements pour mener à bien la bifurcation écologique. Le progrès social et humain se retrouve dans tous les moments de la vie : éducation, formation, santé, culture et sport. Il se fera en incluant les personnes en situation de handicap, et en s'attaquant aux discriminations sexistes et racistes. Ce troisième numéro des Cahiers de l'Avenir en commun, le programme de Jean-Luc Mélenchon, est un outil d'information et de discussion. Vous pouvez aussi participer à la consultation sur le programme en répondant au questionnaire à l'intérieur.

05/2021

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Epistémologie

Ecologie et technologie. Redéfinir le progrès après Simondon

Un constat s'impose ? : la civilisation hyper-technicienne qu'est l'Occident capitaliste mondialisé en vient aujourd'hui à se demander si l'écologie, nouvel impératif, et la technologie, nouvelle démesure, sont strictement compatibles dans l'optique d'une sauvegarde de la vie sur Terre. Une idéologie comme le transhumanisme, qui veut "? augmenter ? " technologiquement l'humain pour le rendre capable d'affronter le pire plutôt que de protéger la biosphère terrestre des conséquences néfastes de nos désirs de puissance et de consommation, achève d'angoisser tous ceux qui s'inquiétaient déjà de la destruction accélérée des écosystèmes terrestres. L'idée de progrès humain, elle, s'est vue abandonnée en raison même des conséquences radicalement inhumaines du progrès technique tel qu'il fut mis en oeuvre durant la Seconde Guerre mondiale. La "? rationalisation technique ? " est devenue l'épouvantail au nom duquel rejeter l'idée de "? Raison ? " et l'idéal du "? Progrès ? " qui nous venaient des Lumières. Pourtant notre monde, tel qu'il est dominé par des motivations économiques et des désirs de confort et de consommation, reste soumis à une forme de rationalisation technique surproductive, sans doute moins radicalement inhumaine malgré les souffrances qu'elle génère, mais plus écologiquement ravageuse. La question est donc d'abord de savoir si, au lieu d'évacuer l'idée de progrès humain au profit de celles de "? développement ? " et de "? croissance ? ", on ne devrait pas travailler à redéfinir le progrès humain pour donner réellement sa chance à l'impératif écologique dans son incontestable urgence. Or, cette question en entraîne une autre ? : avons-nous vraiment compris la réalité technologique, lorsque nous l'avons opposée à la fois à la culture et à la nature ?? Ce livre, qui puise aux sources de la pensée de Gilbert Simondon (1924-1989), entend expliciter le lien entre ces deux questions, et nous réarmer ainsi conceptuellement pour nous rendre capables de dépasser certains faux débats contemporains, tel celui opposant le solutionnisme technologique et l'écologisme radical.

03/2022

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Travail social

Démarches qualité : progrès ou asphyxie ? L'exemple du secteur social et médico-social

La volonté de maîtriser et contrôler la qualité des produits et services découlant du travail est ancienne. En revanche, son application au secteur social et médico-social est assez récente. En s'appliquant à un domaine plus humain que technique, les démarches qualité mises en place passent souvent à côté de l'essentiel, les amenant à devenir des armes de destruction massive du moral des acteurs de terrain, là où elles devraient au contraire donner des raisons d'agir. Ca n'est pas une fatalité et il est nécessaire de ramener le questionnement sur la qualité des réponses apportées dans une perspective plus démocratique, modeste, reliée au travail réel des acteurs. Cet ouvrage propose d'examiner les questions liées à la qualité en s'appuyant sur une analyse détaillée de ce qui est en jeu dans le secteur social et médico-social. Illustré par de nombreux exemples concrets, il ne se contente pas de critiquer l'inadaptation des outils et démarches issus des pouvoirs publics qui asphyxient les professionnels du social mais leur propose une véritable bouffée d'oxygène pour mieux concevoir ce qui fait sens dans ces professions. Un livre destiné aux acteurs de l'action sociale et médico-sociale : professionnels du travail social, directeurs d'établissements et services sociaux et médico-sociaux, managers, institutionnels et à tous ceux qui se questionnent sur la notion de qualité et sur les outils pour la mettre en débat de manière adaptée à l'action concernée.

10/2023

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Actualité et médias

Tourner la page. Reprenons la marche du progrès social

Le capitalisme financier a précipité le monde dans la crise. Les marchés, toujours indomptés, multiplient les déflagrations économiques. Le néolibéralisme paralyse la marche du progrès social. Les pays émergents contestent la suprématie occidentale. Un vent de démocratie souffle sur les pays arabes, et pendant ce temps, en Europe et en France, tout continue comme avant... En dépit de l'impact destructeur de la crise sur nos vies, en dépit des responsabilités des marchés financiers, les élites intellectuelles, politiques, médiatiques et économiques justifient que la facture soit payée par les peuples. Il faudrait sacrifier ce qui subsiste de nos services publics et de nos solidarités. Pourtant le message des peuples est limpide: ces politiques d'austérité ne sont pas seulement injustes, elles sont illégitimes et inacceptables. Pour éviter que la politique soit exclusivement la fille de la peur, la gauche doit redonner un sens et un contenu au progrès. Ce livre propose des objectifs et une stratégie pour desserrer l'étau et reprendre la marche du progrès.

09/2011

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