tuer personnage

Quand il ne saupoudre pas les librairies et les bibliothèques d'Amérique et du Royaume-Uni d'argent, pour les aider à survivre, James Patterson reste un auteur avec des factures à régler. Depuis quelque temps, il propose des cours d'écriture, en ligne, pour un montant de 90 $. 

C'est la grande différence entre George RR Martin, qui se fend la poire dès que l'un de ses personnages agonise – et plus particulièrement, dans des conditions sordides. Mais Rowling, elle, a un cœur en or. Et voici qu'elle se confond en excuses pour avoir tué l'un de ses personnages, Fred Weasley. Souvenez-vous, dans le film, c'est comme ça que ça se passe : 

Manuel Pardo, 56 ans, reconnu coupable de neuf meurtres commis en trois mois, vient d'être exécuté aux Etats-Unis. Cet ancien flic de Miami qui a sévi en 1986, a très certainement inspiré l'écrivain Jeff Lindsay et son roman Ce cher Dexter, sorti en 2004. Librement adapté de l'ouvrage, la série télévisée connaît un succès retentissant, même en France.

Pourquoi tuer méthodiquement, vicieusement, sans prévenir ni le moindre état d’âme dans les romans du Trône de fer ? George RR Martin a habitué ses lecteurs avec des décès violents et soudains... et c’est entièrement la faute de l’admiration qu’il porte à Tolkien. Justement parce que le romancier britannique fit mourir Gandalf...

Ce premier volet de la trilogie de Glasgow (disponible chez Liana Levi et en Livre de poche) possède une structure narrative surprenante et hautement sympathique.

HIVER2024 - « Que l'on considère qu'un tyran, se mettant au-dessus de toutes les lois, et défendant son injustice par une force à laquelle le pouvoir du magistrat n'est pas capable de s'opposer, est au-dessus de toute sorte de punition, au-dessus de toute autre sorte de justice que celle qu'il reçoit du coup de quelque main généreuse.

« Il n’y a rien de plus triste qu’une vie sans hasard », disait Balzac, qui s’y connaissait un peu en matière d’affaires humaines. Nombreux sont les auteurs et les dessinateurs qui semblent avoir pris à la lettre cet adage pour créer quelques-uns de leurs personnages les plus mémorables. 

La loi no 2006-961 du 1er août 2006 relative au droit d'auteur et aux droits voisins dans la société de l'information, dite « loi DADVSI » a permis d'introduire dans la législation française une « exception pédagogique » afin de donner un cadre juridique aux représentations d'œuvres sous droit en classe.

Le cancer de la prostate n'aurait finalement pas eu raison du prix Nobel de littérature, Pablo Neruda. L'auteur chilien avait un assistant, Manuel Araya. Ce dernier vient de faire une série de révélations sur la mort du poète...

Le site Love Reading énumère quinze livres dans lesquels le défilé des personnages est impressionnant. 43 personnages se suivent dans Crime et Châtiment, de Dostoïevski. Une broutille au regard des 132 personnages du premier tome de Harry Potter, qui se fait pourtant largement devancer par les 218 personnages créés pour les premiers épisodes de Game Of Thrones, de George R. R. Martin. Mise à part, la série atteint le record de 2.067 noms. 

Quand la réalité dépasse la fiction, cela donne lieu à des situations cocasses. Récemment, le personnel de l’église Saint-Mary de Whitby (Angleterre) a du rappeler à l’ordre les fans du célèbre vampire Dracula, imaginé par Bram Stoker, qui ne cessaient de chercher sa tombe. Spoiler : elle n’existe pas. Faut-il rappeler que Dracula, bien qu’inspiré du Prince Vlad Tepes, demeure un personnage fictionnel ? 

Les applications pour smartphone n'en finissent pas d'introduire des nouveautés plutôt humoristiques pour modifier les photos que vous prenez de vous-même. L'application MomentCam permet ainsi, à partir d'un selfie, de faire de vous un personnage de bande dessinée, rapporte TNW.

Voici un tumblr qui, assurément, vaut le détour. On peut y lire le monologue existentialiste de David Beckham. Bien sûr, ce n'est pas le joueur du PSG qui l'écrit. C'est un lecteur de philosophie française à l'Univrsité de Cambridge qui a eu cette idée pour le moins saugrenue. 

David VannSukkwan island Désolations  Impurs

Voici encore l’histoire d’un papillon qui va faire frémir : Diabolic, le roman de SJ Kincaid. Le pitch pose illico l’ambiance : « Un Diabolic n’existe que pour protéger son maître. Quitte à donner sa vie. Quitte à en prendre d’autres. »

Pour cette édition 2012, le magazine culturel Spirale vient de remettre à Normand Chaurette le Prix Spirale Eva-Le-Grand 2011-2012, récompensant l'essai Comment tuer Shakespeare publié chez PUM l'an passé.

C’est une fausse nouvelle qui fut douloureuse, ou non, pour les amoureux de la langue de Shakespeare. Depuis hier, une information, mal comprise et relayée par la communauté Twitter, circulait sur le Net comme quoi la virgule d’Oxford n’avait plus lieu d’être pour la célèbre université britannique.

BONNES FEUILLES – Garth Nix est peut-être gaucher, mais assurément australien : avec près de 6 millions d’ouvrages vendus, il a déjà installé ses univers dans le monde de l’Imaginaire. Avec Les libraires gauchers de Londres, il remonte le temps, pour imaginer la capitale britannique, en 1983. Un trio de personnages brillants, embarqués dans un récit d’urban fantasy, entre Men in Black et Harry Potter, avec mémoire effacée, attaques de gobelins et autres loups-garous… 

INFOGRAPHIE – Admettons que le clown Pennywise, alias Grippe-Sou, décide d’arrêter les meurtres en série, pour se lancer dans l’animation de goûter d’anniversaire... Faut bien payer le loyer ! Ou encore que Tintin choisisse désormais de vendre ses grands reportages chez Canal + ? Alors ? 

Si le film de Spielberg tiré des aventures du célèbre reporter et tourner en motion capture est plutôt un succès en Europe, la critique américaine est plus dure à l'égard de cette adaptation, bien que le public réponde pour l'instant présent.

Conférence ordinaire pour personnages ordinaires

Nombreux sont les fans des aventures d’Harry Potter qui ont difficilement réussi à se remettre de la mort de leur personnage favori dans la saga du même nom. Comme à l’accoutumée, J.K. Rowling, écrivaine des ouvrages fantasy a (encore) voulu s’excuser d’avoir causé la mort d’un personnage de la série lors de la bataille de Poudlard. Attention aux quelques spoilers dans l'article...

Mourir sur scène, en pleine exultation de son rôle, voilà bien un destin à tenter une comédienne ? Mais peut-être à condition d’avoir choisi cette ultime représentation. Dans le cas de Hattie Hoffman, retrouvée poignardée et défigurée dans une grange abandonnée de sa ville natale, Pine Valley (Minnesota), quelqu’un procéda au choix pour elle…

Décidément, 2011 n'aura pas été une bonne année pour les héros de comics tant le taux de mortalité aura été élevé. En effet après La Torche en janvier, Zorro en avril et Spider-Man en juin c'est au tour d'Optimus Prime de passer l'arme à gauche.

La sortie de Spectre, 24e film suivant les aventures de l'espion britannique James Bond, marquera également la fin de l'accord passé entre la Metro Goldwyn Mayer et Sony, ce dernier assurant la distribution des films. Commencera alors une bataille épique dans le domaine du divertissement, étant donné le succès rencontré par les derniers films, où Daniel Craig incarne un Bond violent et impitoyable.

C'est tout à la fois la littérature et la liberté d'expression qui sont désormais soulagées et poussent un soupir profond : Lalie Walker, auteure d'un polar qui prenait place dans le Marché Saint-Pierre vient d'être relaxée.

« Ajoutez deux lettres à Paris : c’est le Paradis », écrivait Jules Renard dans son Journal. Si votre quotidien dans la capitale française se résume plus à des trajets en métro (bondé, bien sûr !) qu’à un séjour au jardin d’Éden, la littérature est là pour nous prouver que les deux ne sont pas incompatibles. Le métro et la ville seraient si intimement liés que, selon les mots de Kafka dans son Journal, « Le métro fournit à l’étranger la meilleure occasion d’imaginer qu’il a compris, rapidement et correctement, l’essence de Paris. »  

L’auteur J.M. Barrie a puisé l’inspiration pour son personnage de Peter Pan à diverses sources. En particulier du côté de la famille Llewelyn Davies, qu’il rencontre dans le parc londonien de Kensington Gardens en 1897, et du côté de sa propre histoire personnelle.

Dans le DC Universe post-Flashpoint c'est-à-dire l'univers des 52 titres DC relancés, un personnage mystérieux a fait son apparition. Il s'agit d'une femme portant une capuche rouge.