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Des lectures pour les vacances, pour les enfants de 6 à 8 ans

Durant les vacances, la lecture offre l'occasion d'apprendre et découvrir, en dehors de l'école. En partenariat avec l'association Lire et Faire Lire, ActuaLitté propose une sélection d'ouvrages pour les enfants de 6 à 8 ans. En puisant dans les différentes sélections que le Comité de lecture a réalisées entre 2017 et 2022, voici huit ouvrages pour embellir la période de Pâques.

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Lecture et Littoral : une année de lectures à travers 5000 km de rencontres

Marcher, lire et faire rêver, partager, respecter, s’engager et défendre. Voici tout le projet que porte Marc Roger. Le lecteur public, parcourra 5000 kilomètres à pied de Bray-Dunes à Hendaye du 21 janvier 2023 au 16 décembre 2023. Durant un an, traverser 16 départements, 555 communes, 16 régions pour apporter la lecture et sa voix. Ou plus précisément sa Voie des livres.

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Littérature jeunesse : 10 livres pour accompagner les vacances (1/2)

Plurielle, riche, moderne, la littérature jeunesse ne connaît pas de limites de genres : romans, bande dessinée, album, ouvrages parfois insolites. Alors que la grande fête Partir en livre se déroule actuellement et partout en France, voici une première sélection de livres à parcourir et emporter dans ses valises.

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Littérature jeunesse : 10 livres pour accompagner les vacances (2/2)

Cette année, Christelle Dabos et Olivia Ruiz sont marraines de la 8e édition de Partir en Livre. Cette manifestation organisée par le Centre national du livre couvre tout le territoire, dans une grande fête nationale autour de la littérature jeunesse. Voici donc une seconde sélection d’ouvrages à faire découvrir aux plus jeunes lecteurs.

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Conseils de lectures : chaque semaine, “Les lecteurs en parlent”

Parce que le bouche-à-oreille reste l’une des recommandations favorites des lecteurs, ActuaLitté a initié avec le réseau social Babelio une nouvelle chronique. Un rendez-vous hebdomadaire qui recense les quinze ouvrages qui intriguent, attirent, fascinent... Votre Pile À Lire n’est pas prête de prendre fin !

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Dossier

Sélection de lectures : rendre contagieux le plaisir de lire

L'association Lire et Faire Lire, avec son initiative unique, révolutionne la manière dont les enfants découvrent le monde des livres. En invitant des bénévoles de plus de 50 ans à lire des histoires aux enfants, l'association crée un pont intergénérationnel, rappelant la chaleur et la sagesse des lectures faites par les grands-parents. Ces séances de lecture ne sont pas des cours, mais des moments de partage culturel et citoyen, où le plaisir de lire devient contagieux.

Extraits

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Histoire de France

Lire sous l'Occupation. Livres, lecteurs, lectures, 1939-1944

Que lisait-on dans la France des années noires ? Comment expliquer la "faim de lecture" propre à la période de l'Occupation ? Quelle fut la part prise par le régime de Vichy dans la circulation, la diffusion, l'orientation des livres publiés ? Et celle de la Résistance dans la propagation des écrits clandestins ? Comment accéder à l'intimité des millions de lecteurs qui, cherchant à s'évader hors d'un quotidien éprouvant, trouvèrent alors refuge dans un ailleurs fait de phrases imprimées ? Stratégies et pratiques des éditeurs, querelles autour du patrimoine littéraire, réorganisation corporative de la chaîne du livre, listes d'interdictions et spoliations de l'occupant, écrivains partagés entre collaboration, accommodement, évitement, insoumission : Jacques Cantier signe la première histoire totale du livre et de la lecture entre 1939 et 1945, des politiques de censure mises en oeuvre par Vichy à l'ébullition culturelle de la Libération. Archives publiques, critiques littéraires, notes de lecture mais aussi écrits du for privé permettent de retrouver les traces intimes des actes de lecture : écoliers de la France rurale cherchant à élargir leur horizon, adolescents parisiens en quête d'initiation, prisonniers de guerre tentant de maintenir une vie de l'esprit, victimes de la persécution antisémite en quête de réarmement moral... Jacques Cantier montre qu'en dépit de la défaite, de la peur et des privations, la France continue à lire et à être le théâtre d'une foisonnante vie littéraire et intellectuelle.

01/2019

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Critique littéraire

Livres pillés, lectures surveillées. Les bibliothèques françaises sous l'Occupation

On sait l'ampleur des pillages des collections, d'art en France par l'occupant nazi. Nul n'ignore plus l'existence des listes Otto - recensant les auteurs, juifs ou antinazis, qui devaient être à jamais bannis de tout catalogue - et que le syndicat des éditeurs français appliqua dès les premières heures de l'Occupation avec un zèle certain. Personne, avant Martine Poulain, ne s'était inquiété du devenir des bibliothèques dans la France de 1940 à 1944. Une France qui est à la fois celle de l'occupant nazi et celle du régime de Vichy. A la différence des archives des ministères (Guerre, Affaire, étrangères, Intérieur, justice) et des musées, peu de bibliothèques publiques sont l'objet du pillage par l'occupant, à l'exception des alsaciennes et des mosellanes, germanisées et propriétés du Reich. Le vol de masse, nazi mais aussi vichyste. frappe, dès juin 1940, les bibliothèques institutionnelles - juives, slaves, maçonnes - mais aussi privées, celles des premiers ennemis du Reich (les grandes familles juives, les Allemands exilés, les hommes politiques du Front populaire). Puis le pillage accompagne ordinairement les rafles. Plus de dix millions de livres prennent le chemin de l'Allemagne. Martine Poulain a constitué une première liste des personnes spoliées de leur bibliothèque - près de 1 700 noms. Le régime de Vichy, de son côté, surveille les livres, les bibliothèques et les lecteurs, sous la houlette d'une Bibliothèque nationale devenue le parangon de l'ordre nouveau, instrument de la collaboration d'Etat aux mains de Bernard Faÿ. Ce dernier mène une lutte obsessionnelle contre la franc maçonnerie sous couvert d'un " Musée des sociétés secrètes ".

10/2008

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Littérature française

Occupation

"Occuper, tel était leur impératif à tous, occuper les places, les rues, les immeubles vides, les peupler de leurs corps encore robustes, de leur vie incoercible. Occuper était une urgence des corps convertie dans l'acte politique le plus corrosif, contre la résignation des sereins. Occuper, ne serait-ce que pour être parmi tant d'autres, pour revivre l'expérience du collectif". Lorsque Sebastián, le narrateur d'Occupation et double de l'auteur, entreprend d'écrire un livre sur ceux qui ont investi l'hôtel Cambridge, dans le centre-ville de São Paulo, il n'a de cesse de questionner sa démarche d'écrivain. En donnant la parole au Syrien Najati à qui on dénie le statut de réfugié, à la pétulante Brésilienne Rosa qui a abandonné la misère de son quotidien pour devenir la femme forte qui lui fait face, ou encore à l'infatigable Demetrio dont les mains ne quittent jamais sa machine à coudre, il interroge la place qui est la leur au sein de son pays et de ses mots à lui. Mais dans ce processus d'écriture, sa propre vie le rattrape et se superpose à une réalité brésilienne de plus en plus précaire. Le désir de parentalité qui se dérobe et la peur de perdre son propre géniteur sans avoir tout à fait réussi à connaître son histoire sont autant de vides que Julián Fuks tente de remplir, d'occuper, avec les destins des autres. Alors que tout autour de lui semble n'être plus que ruine, Julián Fuks livre, avec Occupation, un récit en train de s'écrire. En tissant ensemble l'intime et le politique, les trajectoires individuelles et le collectif, il se fait témoin de la violence, des contradictions et des injustices de notre temps. Traduit du portugais (Brésil) par Marine Duval

05/2023

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Littérature française

L'occupation

J'avais quitté W. Quelques mois après, il m'a annoncé qu'il allait vivre avec une femme, dont il a refusé de me dire le nom. A partir de ce moment, je suis tombée dans la jalousie. L'image et l'existence de l'autre femme n'ont cessé de m'obséder, comme si elle était entrée en moi. C'est cette occupation que je décris. A. E.

09/2003

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Critique littéraire

Livres pillés, lectures surveillées. Les bibliothèques françaises sous l'Occupation, Edition revue et augmentée

Dans la France de 1940 à 1944, une France qui est à la fois celle de l'occupant nazi et celle du régime de Vichy, les livres sont pillés. A la différence des archives des ministères (Guerre, Affaires étrangères, Intérieur, Justice) et des musées, peu de bibliothèques publiques sont l'objet du pillage par l'occupant, à l'exception des alsaciennes et des mosellanes, germanisées et propriétés du Reich. Le vol de masse, nazi mais aussi vichyste, frappe en revanche, dès juin 1940, les bibliothèques institutionnelles - juives, slaves, maçonnes - mais aussi privées, celles des premiers ennemis du Reich (les grandes familles juives, les Allemands exilés, les hommes politiques du Front populaire). Puis le pillage accompagne ordinairement les rafles. Plus de dix millions de livres prennent le chemin de l'Allemagne. Le régime de Vichy, de son côté, surveille les livres, les bibliothèques et les lecteurs, sous la houlette d'une Bibliothèque nationale devenue le parangon de l'ordre nouveau, instrument de la collaboration d'Etat aux mains de Bernard Faÿ. En regard, Martine Poulain esquisse les portraits de quelques grandes figures, notamment Jean Laran, conservateur des Estampes, administrateur de la Bibliothèque nationale lors de l'invasion et de la Libération, et Marcel Bouteron, inspecteur général, deux délicieux érudits à l'éthique infaillible, qui surent, face à la brutalité, à la bêtise et à la mesquinerie des temps, prendre le chemin juste et agir dans la droiture.

11/2013

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Littérature française

Sous l'Occupation

"Mobilisé en 1939, je prêtais un grand intérêt à ce qui se passait autour de moi. Comme rien ne me plaisait plus que d'écrire, je résolus de le faire et, pendant cinq ans tous les soirs, je notai ce que j'avais appris et entendu dire autour de moi. Cela sans faire exception des situations et des personnes, interrogeant et écoutant aussi bien le simple soldat et le paysan que l'homme notoire. Tous les témoignages pouvaient présenter de l'intérêt, sans bien entendu avoir le même poids. Les propos des écrivains surtout m'intéressaient. Ils n'étaient pas concordants ; la plupart, cependant, hostiles à l'occupant, comme étaient les miens. Malgré tout je ne croyais pas à l'efficacité d'une résistance active. Les moyens dont pouvaient disposer les Français me paraissaient dérisoires par rapport à ceux dont disposaient les Allemands. J'admirais l'esprit de sacrifice de ceux qui, au péril de leur vie, faisaient sauter des wagons ou plus simplement distribuaient des tracts, mais il me semble que, même si j'avais eu plus de courage, je n'aurais pas été tenté de les imiter. Je croyais, comme mon homonyme Albert Grenier, que la victoire obtenue par les Allemands avec des machines changerait de camp avec d'autres machines plus puissantes aux mains des Américains." Jean Grenier.

03/2014

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