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Une auteure évangélique s'est plaint que son livre, A year of biblical womanhood, s'est vu refuser les étagères d'une chaîne de livre américaine pour le seul motif d'avoir mentionné le mot vagin. Le second livre de Rachel Held Evans est pourtant un témoignage sur ses années passées pieusement à appliquer les instructions maritales de la bible, à la lettre. Une histoire caverneuse rapportée par

Créée en 1996 aux Etats-Unis, les Monologues du vagin, pièce de la féministe Eve Ensler, ont connu par la suite un succès mondial, avec des adaptations proposées dans de nombreux pays. Mais, c'est même à présent le Maroc qui a sa déclinaison de cette pièce permettant d'aborder le thème de la liberté sexuelle.

Réseaux sociaux ou réseaux bigots ? Une nouvelle illustration de l'esprit étroit derrière les plateformes Twitter, Facebook ou encore Instagram s'est manifestée : une auteure, gynécologue de formation, et son éditeur Kensington Books, avaient mis en place des campagnes de publicité pour son livre, The Vagina Bible (La Bible du vagin). Toutes les campagnes ont été refusées, à cause du mot « vagin ».

Bon pour se remettre un peu en situation reprenons les faits. Le président de la République, Nicolas Sarkozy a annoncé que les publicités pour les livres seraient bientôt de retour à la TV et que parallèlement à ça le service public ne pourrait plus diffuser de publicités. Bien évidemment les grandes maisons d'édition s'inquiètent de savoir si elles pourront financièrement concurrencer les grandes marques qui sans cesse nous rabâchent leurs mérites.

C'est bien connu, « les femmes sont sales ». Enfin, jusqu'ici on pensait quand même avoir passé le cap des œillères et de certaines pensées « primitives ». Pourtant, le titre du nouveau livre de Naomie Wolf, Vagina, est loin de faire l'unanimité des plateformes de vente. Cet ouvrage, qui veut explorer les comportements qui considèrent encore aujourd'hui le vagin comme « honteux », tombe dans le mille. Marqué d'un astérisque, Vagina vient d'être sévèrement mis au banc par Apple.

Noël n'est pas loin, le barbu tout rouge, aux couleurs de Coca-Cola fait venir faire des ravages, et en cette période plus que jamais, la publicité devient un sport de combat, version free fight, tous les coups sont permis...

Plus qu’une simple illustration, la couverture peut être un puissant indicateur des choix éditoriaux adoptés par une maison. Aux éditions Zulma, réputées pour leurs couvertures graphiques et abstraites, l’apparence du livre revêt une importance de premier plan. Entretien avec Laure Leroy, directrice et co-fondatrice de la maison.

La présence de publicités sur le Kindle avait permis à Amazon de vendre moins cher son lecteur ebook. La simple présence de petites images promotionnelles, au moment où l'appareil se mettait en veille, avait réussi à faire tomber le prix de plusieurs dollars... L'aubaine pour le consommateur.

Introduire de la publicité dans les lecteurs ebook pour les proposer moins à un tarif moindre au consommateur, l'idée a fait son chemin, et plutôt bien fonctionner chez Amazon. Mais étendre cette solution aux livres numériques eux-mêmes, quel avenir ?

Publicité pour les livres : des innovations très intéressantes

Dur, pour un illustre inconnu, de faire publier son ouvrage. Mais plus dur encore de le vendre sans l'appui d'une solide campagne marketing. Simon Spurrier a la solution : se la jouer viral. C'est-à-dire faire original et légèrement débile avec le moins de frais possible.

Une très sérieuse étude américaine vient de mettre au grand jour les effets de la publicité négative pour un livre et son impact sur les ventes. Et quand on dit très sérieuse, il y a des graphiques pour le prouver.

Quand la publicité est source d'inspiration pour un livre

Le monétisation des fichiers numériques, par d'autres biais que leur commercialisation, intéresse évidemment les éditeurs. Ainsi, HarperCollins mène l'enquête et serait prêt à proposer des ouvrages contenant des messages publicitaires.

Dans l'audiovisuel public, réformé par Nicolas Sarkozy, François Hollande avait promis de faire un peu de ménage. La loi de 2009 privait le Conseil supérieur de l'audiovisuel de son pouvoir de nomination des patrons de France Télévisions et de Radio France. Il revenait au président de la République de fixer les postes. Le Sénat a adopté une nouvelle loi, revenant au fonctionnement ante-Sarkozy.

D'un côté, les sociétés high-tech et autres géants du net s'échinent à développer des technologies et déposer des brevets pour introduire des publicités dans les livres numériques. Yahoo avait fait fort, voilà quelques semaines, avec une méthode de contextualisation des promotions. 

Tout le monde a peur : qui dit numérique évoque en filigrane

Bien loin de l’amour courtois, le fragment de poème allemand retrouvé par Christine Glassner dans la bibliothèque de l’abbaye de Melk en Autriche, suit les aventures d’une jeune vierge. Elle se dispute avec son vagin pour déterminer qui est le plus désirable pour les hommes. Il a été identifié comme datant du XIIIe siècle et faisant partie du « Der Rosendorn ». 

Le livre est-il un déchet comme les autres ? Une récente campagne de communication menée en Italie semble l’admettre. C’est dans la ville de Corato (région des Pouilles, extrême sud-est de la péninsule), que le drame s’est déroulé. Et l’édition a du mal à tourner la page.  

La question de la publicité, le modèle économique par essence de Google, s'était posée pour son service de librairie en ligne, eBooks. Jusqu'à présent, seule une approche théorique nous permettait de savoir ce qu'il pourrait en être.

Dan Brown, contrefaçon ou publicité sur le livre d'un confrère ?

Couper les budgets publicitaires, c'est entraîner une réflexion nécessaire pour les éditeurs, qui doivent malgré tout assurer la promotion de leurs auteurs. Outre-Atlantique, 50 à 70 % du budget marketing des maisons a été réduit, en regard de 2008, passage de la crise oblige.

L'une des difficultés récurrentes, pour les auteurs autopubliés, réside dans la promotion de leurs ouvrages. Les réseaux sociaux sont le premier outil, gratuit, pour assurer la publicité de leur livre, avec le risque de rapidement agacer leurs contacts. Amazon vient encore une fois à leur rescousse, en proposant une campagne de publicité au coût par clic. Sous certaines conditions.

Comme le rapporte Digital Book World, l'équipe de la société basée à Mountain View a adressé cette semaine une lettre à ses partenaires, pour justifier l'arrêt de son programme destiné à la promotion de livres sur le Web : Google Books Partner. Ce concept, par lequel le géant rétribuait les éditeurs contre l'ajout de publicité en marge des aperçus de livres, n'a visiblement pas su générer des retombées aussi profitables que ce qu'espérait le géant à son lancement. 

Même à l'époque du papier, il peut exister plusieurs éditions d'un livre : alors à celle du numérique, l'opulence ne saurait nuire. Lue/vue dans Teleread, cette réflexion sur l'intégration de publicités dans les livres numériques, qui mérite, une fois n'est pas coutume, que l'on s'y attarde.

Livres numériques et publicité : sont-ils faits pour s'aimer ?

Autre amuseur public du magnat des médias Vincent Bolloré, aux côtés d'Éric Zemmour, Cyril Hanouna fait, comme ce dernier, décoller les audiences. Son émission Touche pas à mon poste (TPMP) s'est déclinée en plusieurs rendez-vous, toujours sur C8, qu'Hanouna n'hésite pas à utiliser aussi à son avantage, par exemple pour la promotion de son propre livre.

Cette histoire de fonds d'écran placés dans le Kindle pour en faire réduire le prix de vente public a fait son oeuvre : tout le monde a parlé d'Amazon.