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Policiers historiques

Retour à Varennes

L'après 1789 : le roi fuit, Duroch enquête... 1791. Augustin Duroch, artiste vétérinaire, se trouve chargé d'enquêter sur la mort mystérieuse d'Alexandre du Tertre, un capitaine de cavalerie de Metz. Réputé pour savoir maîtriser toute monture, il est pourtant retrouvé le crâne brisé, à côté de son cheval. Gabrielle, la maîtresse d'Alexandre, se décide à mener son enquête à la lecture d'une lettre de menace visant son amant. La quête de la vérité s'avère plus complexe qu'il n'y paraît. A mesure qu'Augustin démêle les fils de cet assassinat, fusils et fourches des Français - tout juste devenus citoyens - se lèvent dans l'Est : la rumeur de la fuite du roi vers Varennes gronde.

05/2021

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Philosophie

Le chemin de la Garenne

En parcourant le chemin de la Garenne qui traverse et forme une boucle aux abords du village où il a grandi, Michel Onfray retrouve les souvenirs et les sensations de l'enfance. Il évoque avec émotion des personnages hauts en couleur, durs à la peine — ses parents en premier lieu : le père ouvrier agricole, la mère abonne à tout faire". Il observe le passage du temps, les ravages de la modernité : les édiles locaux en prennent pour leur grade, les agriculteurs inféodés à l'industrie chimique également, mais aussi les écologistes qui ont fait supprimer les barrages sur la Dives pour favoriser la remontée de saumons dont on n'a jamais vu trace dans cette rivière. La nature est très présente : l'enfance est pleine de grillons, de couleuvres, de crapauds, de fleurs et de plantes. Certains portraits peuvent être féroces, mais on sent surtout ici poindre une mélancolie sincère, et un authentique attendrissement quand la promenade sur le chemin de la Garenne est l'occasion de croiser les figures chères du passé.

11/2019

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Littérature française

L'esprit de La Garenne-Colombes

L'esprit de La Garenne-Colombes par Maryan Guisy.

11/2009

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Beaux arts

Eveil. XXIes Entretiens de La Garenne Lemot

L'éveil renvoie à la naissance, dont il renouvelle et banalise le miracle ; et il s'oppose au sommeil ou plutôt à l'endormissement, pris comme retrait dans un monde intérieur et anticipation de la mort. Mais qu'y a-t-il de commun entre l'éveil physiologique, propre à tous les animaux, et l'éveil spirituel, réservé à quelques élus, en passant par toutes sortes d'éveils spécifiques qui touchent la sensibilité, l'imagination, l'intelligence, la créativité, etc. ? Qui éveille, à quoi et pourquoi ? Et qui s'éveille ? Est-ce " l'âme " ? Est-ce " moi ", " soi ", " on " ? L'éveil est-il finalement rendu impossible par la mort ou bien peut-il s'accomplir après sa survenue à travers diverses formes de survie ou de résurrection ? La méthode choisie est celle d'une approche concrète, proche de la vie, mais toujours soucieuse de ses provenances. Cette " pensée en amont ", comme on pourrait l'appeler, ne cesse de solliciter l'histoire des religions, de la philosophie, des langues, des arts et des sciences. Mais elle refuse l'hégémonie d'une seule de ces disciplines et privilégie la créativité, en assignant à la musique et aux beaux-arts un rôle central dans le renouvellement de la pensée.

02/2019

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BD tout public

Ardeur Intégrale

ARDEUR, c'est d'abord un visage. Ou une absence d'un visage. Le navigateur a eu le sien brûlé suite au crash bombardier, quelque part en Russie dans une région horrifié, sinistrée par une guerre atomique. réduit à deux yeux écarquillés et à une bouche ouverte sur un cri muet. Mais ARDEUR, c'est surtout un chef-d'oeuvre de la bande A ex dessinée de science-fiction, créé à partir de 1979 par Alex et Daniel Varenne, dans un noir et blanc expressionniste réhaussé de trames, et qui brosse un portrait impitoyable et prophétique de notre temps. Ce monument inégalé a été entièrement restauré et réédité à partir des planches originales.

10/2014

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BD tout public

Le déserteur. Charles-Frédéric Brun

L'histoire en images d'un déserteur mystérieux qui a marqué l'imagerie religieuse. Une BD qui a la particularité de mettre en cases les histoires qu'elle raconte La vie de Charles-Frédéric Brun commence par une grande plage blanche de trente-neuf ans. Il serait né à Colmar de parents inconnus en 1804 ou 1811. Sans acte de naissance, un personnage est exposé, la fiction peut le saisir comme la mort saisit le vif. Les auteurs ont choisi 1804. Ses dons le prédestinaient à devenir un artiste de l'image. Avec le retour de la royauté et le pouvoir restauré de l'Eglise à cette époque, l'imagerie religieuse offre le débouché le plus sûr pour un jeune talent. Il exerce en Alsace, plus loin dans la vallée du Rhône et peut-être jusque dans le Midi, une vie ambulante d'imagier qui migre aux beaux jours vers les lieux de pèlerinage bien achalandés. Sur les chemins, il se dira qu'il " aurait " tué son capitaine. Il quitte la France pour rejoindre l'abbaye de Saint-Maurice, en Suisse, où des chanoines l'attendent. On lui propose alors à lui, le lettré, d'apprendre à lire et à écrire aux analphabètes des vallées. Mais jamais il ne fera un bon maître d'école. Sa mission est celle d'un imagier de Dieu. La présence de cet étranger ne passe pas inaperçue dans la région, des gendarmes sont à la trousse du proscrit français. Il fuit en Savoie, sans laisser de trace pendant plusieurs années. C'est à l'automne 1846 qu'il réapparaît, amaigri. En possession de couleurs et de papier, le temps est venu pour lui de commencer sa mission. Il mendie sa nourriture qu'il paye en retour avec des images inspirées par le Très-Haut. Plus tard, il acceptera d'entrer chez ceux qui les lui commandent pour les réaliser plus à son aise. Il devient peintre mural et peintre de chapelle. Les gendarmes le recherchent toujours, mais il est sous la protection des autorités religieuses. Tout le monde a beaucoup d'admiration pour lui. L'homme a aussi d'autres talents. Il connaît la vertu des plantes. Improvisé médecin de campagne, il soigne ses "patients" avec une pharmacopée bien à lui. Durant plus de vingt ans, il sillonne les bois et les vallées, de village en village. Il meurt en 1871 à 67 ans, après une vie de sacrifice qu'il s'est lui-même infligée.

10/2020

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