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Récits de voyage

Carnet vénitien

Ecrit en 1956 en français par une Vénitienne, publié à Paris sous l'égide d'Albert Camus, Carnet vénitien est à la fois l'oeuvre frontalière d'une écrivaine entre deux cultures, la française et l'italienne, mais aussi dans la vie de l'auteure qui va quitter Venise et Paris pour s'installer à Rome. Liliana Magrini en garde un souvenir nostalgique, comme une sorte d'âge d'or. Cette nostalgie imprègne son récit qui s'étend environ sur une année, débutant à la fin de l'été tout en réservant une grande place à l'hiver. La maison de Goldoni, les dentellières de Burano, le Fresco sur le Grand Canal, tout comme la fête annuelle des verriers ou les manèges de la rive degli Schiavoni sont autant d'étapes dans les incursions de l'auteure. Sans parler de ses habitants et leurs moeurs, petit peuple, gamins, jeunes gens, hommes et femmes, vieux et vieilles, ivrognes, clochards, sans-logis... de Venise, la Guidecca, du Lido ou de Chioggia...

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Littérature française

Métronome vénitien

Le narrateur, amoureux de l'Italie et de sa Serenissima, décide un jour d'y revenir pour passer l'hiver dans la pension où il était venu neuf ans auparavant. Au détour des calli et des fondamenta qu'il arpente, et au travers des rencontres qu'il y fait, son passé ressurgit, et avec lui, celui de l'Italie et de l'Europe, de notre culture et de ses religions. De cette saison italienne il rapporte, à côté de ses souvenirs et de ses réflexions, les portraits des hommes et des femmes qu'il rencontre, leurs histoires et les discussions qu'ils partagent dans les salons du Monaco Grand Canal, à une terrasse des Zattere, ou près du Campo Santo Stefano. Avec eux, on parle russe, anglais, hébreu, mais surtout italien, l'italien de Rome, de Venise, de Parme ou de Trieste. Ensemble, ils lisent quelques sestines de Dante, quelques vers de Baudelaire, et font dialoguer le Vénitien Gozzi, le Romain Belli, le Milanais Stendhal, avec le Pétersbourgeois Joseph Brodsky et le Moscovite Serguei Averintsev. On traverse ainsi les âges et les nations pour reprendre les questions éternelles de l'art et de la foi, de la littérature et de la religion, revenir sur les terres Saintes de Jérusalem, de Rome ou de Constantinople, et réunir, le temps d'une marche à Venise, l'Eglise d'Orient et d'Occident.

03/2013

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Policiers

Rouge vénitien

Venise : la ville d'art par excellence ! Comment s'étonner que tant de richesses accumulées au cours des siècles, dans les palais de cette ville, puissent donne des idées... La découverte de faux tableaux, de parfaite facture, va susciter l'émoi dans es milieux aristocratiques et feutrés de la ville. Mais Venise c'est aussi les brumes humides de novembre, l'odeur entêtante de ses canaux endormis et de l'Acqua Alta. Qui est l'assassin qui sévit sur ses quais à la tombée de la nuit ? Qui donc se cache derrière un masque lors d'un bal costumé, version Casanova, donné dans un palais, pour mieux tuer ?

07/2013

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Littérature française

Refuge vénitien

Pourquoi Sébastien, un violoniste au faîte de sa carrière, décide-t-il de se réfugier à Venise ?

05/2015

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Littérature française

Carnet vénitien

Ecrit en 1956 en français par une Vénitienne, publié à Paris sous l'égide d'Albert Camus - dont elle était la traductrice -, Carnet vénitien est l'oeuvre d'une écrivaine entre deux cultures, la française et l'italienne. Amoureuse de Paris où elle séjourna souvent, elle gardera de ces années partagées entre la ville lumière et la cité lagunaire un souvenir nostalgique. Cette nostalgie imprègne son récit qui s'étend environ sur une année. La maison de Goldoni, les dentellières de Burano, le Fresco sur le Grand Canal, tout comme la fête annuelle des verriers ou les manèges de la Riva degli Schiavoni sont autant d'étapes de l'auteure qui dépeint sa ville natale. Sans oublier ses habitants et leurs moeurs, petit peuple, gamins, jeunes gens, femmes, vieux et vieillesâ- de la Giudecca, du Lido ou de Chioggiaâ- Une magnifique balade quasi intemporelle dans la Sérénissime !

10/2023

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Littérature française

Le dernier Vénitien

"1801. Ceci est mon vrai testament et celui de Venise à la fois. Nous mourons, elle et moi, d'une même fin, de la même maladie d'âme, d'une même déréliction. Avec pour viatique dans l'éternité froide guettant aux portes, la gloire que nous reconnaîtront peut-être les hommes des temps futurs. Car Venise va mourir. Et je suis le dernier Vénitien." Ainsi s'ouvrent ces Mémoires apocryphes de celui qui fut le Goldoni en peinture de la Venise des Doges sur sa fin. Giandomenico Tiepolo, fils du grand Tiepolo, brossa d'un pinceau musical ses fêtes galantes, ses moeurs où la volupté s'enlaçait à la décadence. Au soir de sa vie, il fit ses adieux à Venise en 104 dessins de génie où les Polichinelles subvertissent la cité déchue. Méconnu, oublié, Giandomenico Tiepolo n'en avait pas fini avec lui-même. Ressuscité par Gilles Hertzog, Le dernier Vénitien livre ici le testament de son existence inutile et féconde.

10/2018

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