violence Kubrick

Une exposition Stanley Kubrick se tient pour la première fois à la Cinémathèque française du 23 mars au 31 juillet. Cet événement majeur sera l’occasion de pénétrer enfin l’univers d’un des cinéastes les plus secrets au travers d’archives mêlant correspondances, livres annotés, carnets, découpages techniques, dessins, esquisses et photographies. Outre ces documents, l’exposition fera la part belle aux décors et aux objets techniques qui ont jalonnés la carrière du réalisateur.

Stanley Kubrick, filmographie complète, de Paul Duncan

Stanley Kubrick occupe une place de choix dans l'univers des Simpson, et ce n'est pas la première fois que la famille déjantée des États-Unis rend hommage au réalisateur. On se souvient qu'au cours du numéro spécial Simpson Horror Show V, c'est une réécriture du film Shining qui avait fourni la matière aux scénaristes. Un film d'ailleurs inspiré d'un ouvrage, signé, excusez du peu, par Stephen King.

Paul Duncan : la filmographie complète de Stanley Kubrick

Stanley Kubrick (1928-1999) est aujourd'hui reconnu comme l'un des réalisateurs les plus influents de sa génération. L'Américain a signé plusieurs chefs-d'œuvre, dont 2001, l'Odyssée de l'espace (1968), Shining (1980) ou Eyes Wide Shut (1999). Mais son sens du détail et sa volonté de maitrise ont eu des conséquences négatives, notamment la censure d'un essai critique pendant un demi-siècle...

Qui dit Orange Mécanique dit, automatiquement, Stanley Kubrick, avant même que le nom de l'auteur du livre original, Anthony Burgess, ne soit évoqué. Mais un autre réalisateur, plus expérimental que Kubrick, s'était emparé de l'ouvrage pour en produire une adaptation filmée. En 1965, 6 ans avant l'adaptation avec Malcolm McDowell, Andy Warhol réalisait Vinyl, film de 70 minutes qui suit le parcours d'un certain Victor...

L'avis de Stephen King sur l'adaptation de son roman par Stanley Kubrick est connu : Shining était un bon film, assurément, mais il passait à côté du véritable enjeu de son roman, la destruction d'une famille par l'addiction à l'alcool du paternel. Le documentaire Room 237 propose toute une variété d'autres interprétations…

Un peu désespérés, les avocats allemands de Samsung : pour prouver qu’Apple n’a pas le monopole des bouts de plastique rectangulaires, à angles ronds, ils ont sorti des tiroirs l’Odyssée de l’espace de Stanley Kubrick. Visionnaire génial, le cinéaste avait inventé l’iPad avant Apple…

C'est une pièce exceptionnelle, conservée à Londres, dans les Archives Stanley Kubrick, mais pour le moment en voyage autour du monde pour différentes expositions. L'exemplaire de Shining utilisé par Stanley Kubrick pour préparer son adaptation du roman de Stephen King est rempli d'annotations, certaines de la main du maître, ou d'autres qui ont bâti ce chef-d'oeuvre du cinéma d'horreur.

A l'arrivée de son nouveau roman, Doctor Sleep, Stephen King devient la star des médias. Cette suite de The Shining attire l'attention de la presse, mais entraîne le Roi à des commentaires parfois désagréables... vis-à-vis de Stanley Kubrick. Eh oui, en 1980, le réalisateur se lançait avec Jack Nicholson dans une adaptation du roman, pourtant exceptionnelle.

« Orange Mécanique », « Eyes Wide Shut », « Shining », « 2001 : L’Odyssée de l’Espace », «  Full Metal Jacket »... On avait vu que le réalisateur américain maîtrisait l’horreur, le suspens, l’érotisme, l’abstraction métaphysique, le film de guerre ou le film historique, mais l’idée qu’il reprenne un conte paraissait invraisemblable. Et pourtant, Stanley Kubrick envisageait bien de faire son Pinocchio pour « faire rire les enfants et qu’ils se sentent heureux ». C’est son plus proche collaborateur qui l’a confié dans un livre. Nous n’avons pas pu voir si son nez s’allongeait ou non. 

En 1980 sort dans les cinémas du monde un film d'horreur qui deviendra une référence : Stanley Kubrick signe Shining, d'après le roman Shining, l'enfant lumière de Stephen King, publié en 1977. Avec Jack Nicholson, Shelley Duvall et Danny Lloyd, enfermé dans le fameux hôtel...

Historiquement, c’est le film où Jack Nicholson apparaît comme plus cinglé que jamais. C’est aussi l’adaptation d’un de ses romans que Stephen King a le plus détesté. Mais reste que Shining par Stanley Kubrick, c’est un moment de pur bonheur — et qu’en période de vacances, tout fan rêve de pouvoir louer une semaine à l’Overlook Hotel...

Un scénario inédit, intitulé Burning Secret, vient de voir le jour. Stanley Kubrick s’était manifestement passionné par une nouvelle de Stefan Zweig, datée de 1913, Brûlant secret (trad. Nicole Taubes, Folio). Écrit en 1956 avec le romancier Calder Willingham, le scénario était tombé dans l’oubli.

En attendant la parution prochaine de la suite de Shining, de Stephen King, ce premier volet littéraire et son adaptation cinématographique par Stanley Kubrick restent une énigme pour les amateurs du genre horrifique. Les intrigués qui rêvent de tout savoir sur le film de 1980 vont être ravis, car le 19 juin prochain sortira en salles le documentaire Room 237, de Rodney Asher, une véritable autopsie de la version possédée par Kubrick.

L’enfance de Marc n’eut rien du long fleuve tranquille. Son frère aîné, Enzo lui tapait dessus, violemment. Un drame familial, où les parents perdus tentent de préserver leurs enfants, sans comprendre d’où vient cette rage qui anime leur premier fils. Les bleus s’effacent est le dernier roman d’Hervé Pouzoulic : un récit à la première personne, où les ténèbres ont la peau dure…

En 1980, Stanley Kubrick sortait son adaptation du roman de Stephen King, Shining sur grand écran. La rencontre des deux maîtres n’a pourtant pas fait bon ménage. Près de 40 ans plus tard, l’auteur n’approuve toujours pas cette vision portée sur son livre.

En 1977, Stephen King fait paraître The Shining chez Doubleday. L’histoire de cet étrange hôtel, l’Overlook, dont Jack Torrance va assurer la surveillance, durant l’hiver, avec sa famille. Trois ans plus tard, Stanley Kubrick s’empare du livre, et produit une adaptation avec Jack Nicholson qui aujourd’hui fait encore date... 

Auteur de comics noirs à la qualité incontestable et cinéaste plus ou moins heureux, Frank Miller reçoit un nouveau plébiscite relayé par

Culte de l'image, contre cultes et blessures

Michael Herr est derrière deux des plus grands films de guerre du cinéma : Francis Ford Coppola l'engage d'abord pour adapter la nouvelle de Joseph Conrad, Au cœur des ténèbres, qui deviendra Apocalypse Now. Quelques années plus tard, c'est Stanley Kubrick qui sollicite les services de l'écrivain et journaliste américain, pour Full Metal Jacket.

Réalisé par Stanley Kubrick, adaptation du roman d'Howard Fast, Spartacus est sorti pour la première fois en 1957. Dans le rôle principal, le spectateur retrouve Kirk Douglas à la tête d'une révolte sociale féroce. Le roman était sorti pour la première fois en 1951. Il a été édité en France par L'Atalante et traduit par Jean Rosenthal. 

Un petit pays slave se décompose dans la guerre mondiale, déconfiture face à laquelle le lecteur va devoir tenir bon. Montrant un visage peu connu du second conflit mondial, et dans un style très personnel, Et l’amour aussi a besoin de repos est un roman finement ciselé, tendrement travaillé, impitoyable sous ses allures de balade romantique. D'une grande qualité littéraire.

ROMAN FRANCOPHONE - À la sortie du tribunal, Pierre, le narrateur, apprend qu’il est condamné à quatre mois de prison avec sursis pour violences conjugales, assortis d’une mise à l’épreuve de dix-huit mois et d’une injonction de soins. Il a trente-trois ans. Ainsi débute le récit d’un triste fait divers. Sale bourge, premier roman de Nicolas Rodier, fait partie des cinq livres finalistes du Prix de L’Instant. 

Au sein d'une conférence animée par Isabelle de Gaulmyn, du Figaro, c'est le lien qui peut exister entre violence et religion qui a été mis en débat. Avec, autour de la table pour en parler la journaliste au Point Mirelle Duteil (dont l'ouvrage Les islamistes ont déjà perdu va sortir en mai 2013), Rachid Benzine (qui a écrit notamment Le Coran expliqué aux jeunes, Seuil, 200 pages, 9 €) et Frédéric Rognon (pasteur et auteur de Les chrétiens et la violence, Olivétan 255 pages, 22,50 €).

L’auteure à succès, Christine Angot, rencontrait ses lecteurs ce mardi 15 février à la FNAC de Montparnasse à Paris.

Depuis septembre, la révolte gronde, portée par les femmes du pays. Et une violente répression répond aux revendications qu’elles portent. En l’espace de deux semaines, une centaine de personnes avait perdu la vie au cours des manifestations. Des voiles brandis en protestation, réclamant une liberté interdite, à laquelle répondent des tirs à balles réelles. Et ce 15 novembre, une nouvelle pierre s’ajoute à l’édifice.

Absentéisme et violence scolaire : Sarkozy à Beauvais

« Il me tient par le menton et j’ai peur de mourir. » Lou adore et adule son père, Gérard. Conteur merveilleux, avec sa grosse voix et son rire ébouriffant, la vie pour lui est une aventure. Chaque moment, une mission dans laquelle il ne cesse d’entraîner sa fille, qu’il surnomme « moussaillon » avec malice. Comment ne pas être parfaitement séduite par cette figure paternelle merveilleuse ? Pourtant, sous la joie exubérante couve la violence. 

Recrudescence de violence scolaire, insécurité en baisse