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vivier

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Roman d'amour, roman sentiment

Le vivier

Accablée par le désastre de son mariage, Brenda se réfugie dans les lieux de son enfance, sur la bordure d'une encoche découpée dans la côte du Finistère Nord. Là, la vie est simplifiée. Le paysage respire au rythme des marées. Les gens pratiquent le plus naturellement du monde des relations savoureuses. Un voilier rouge pose l'ancre dans le décor. Quelle histoire ramène-t-il à son bord ? Qui est Goulven le navigateur solitaire de ce navire ? Le passé et le présent de Brenda et Goulven teintent leur rencontre. Brenda qui travaille pour un cabinet comptable doit se pencher sur la gestion déconcertante du vivier où travaille Anielle, la femme de Goulven.

05/2023

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Théâtre

Le Vivier des noms

La nouvelle pièce de Valère Novarina, telle qu'elle sera représentée dans le cadre officiel du Festival d'Avignon 2015.

06/2015

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Critique littéraire

Les Enfances Vivien

Les Enfances Vivien sont une chanson de cycle de Guillaume d'Orange, qui se situe, dans le cycle, après la Prise d'Orange et précède la Chevalerie Vivien. Garin, le père de Vivien — âgé de sept ans — est emprisonné à Luiserne en Espagne par le païen Marados qui lui demande comme rançon son fils Vivien. Garin accepte les conditions du païen et Vivien lui est livré. Au moment où les païens s' apprêtent à torturer Vivien, une armée entre dans la ville et la brûle. Les païens fuient, Vivien est libéré et vendu à Mabile, femme du marchand Godefroi. Mabile propose à Vivien de faire croire à Godefroi, absent depuis sept ans, qu'il est leur fils. Godefroi revient de la foire enrichi et heureux d'avoir un héritier, il tente d'initier Vivien au négoce. Vivien fait un piètre marchand. Il ne sait pas compter et se fait berner dans l'exercice de la vente et de l'achat. Il ne rêve que de combattre les Sarrasins, et lève une armée de marchands. Au terme de nombreuses batailles, Vivien et les marchands — aidés par l' armée du roi Louis et par Guillaume — parviennent à conquérir Luiserne.

01/1997

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Lecture 6-9 ans

Vivien, drôle de chien !

#ScrineoEngagé – Il m'est arrivé quelque chose d'incroyable ! Vraiment incroyable ! Je veux bien vous le raconter, mais je me demande si vous n'allez pas me prendre pour un fou. Alors, voila... Accrochez-vous bien... Et si j'en entends un murmurer : "Non, il exagère, c'est impossible", j'arrête tout ! Allez, je commence... J'étais un garçon comme les autres. Jusqu'au jour où ma maîtresse a changé ma vie d'une façon inimaginable...

10/2019

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Divers

Le grand vivier. Journal, récolte 2020-2021

La multitude invisible sépare les êtres, restitue chacun à sa réclusion. Jean-Louis Giovannoni travaille depuis toujours sur cette notion de séparation et de réclusion, qui trouve dans ce journal, débuté au printemps 2020, un ancrage dans le réel. Comme si la réalité soudaine à laquelle le monde se trouvait confronté s'ajustait au monde littéraire de Giovannoni. Un journal, mais un journal fragmentaire, morcelé, d'abord tenu au cours des longues journées de confinement, puis continué pendant plus d'un an. Giovannoni depuis toujours essaie l'espace comme on essaie un vêtement. Est-il à la bonne mesure ? Est-on trop serré dedans ? Quelle est notre aisance, notre liberté de mouvement ? Il touche les murs, le plafond, arpente les couloirs en boucle, sort sur son balcon. Petit à petit naît le besoin de repousser l'espace, d'agrandir les murs, il regarde les photographies qui deviennent plus grandes que la réalité, les meubles immobiles, les fantômes qui peuplent les appartements : la vie se renverse, "je ne fais que déplacer de l'immobile en moi" dit-il. Il se met à parler aux objets devenus les seuls compagnons. Il parle même aux pierres, les écoute respirer. Il parle à ses vêtements, il s'installe dans sa penderie. Il parle aux portes qu'il n'ose pas toucher. Bruit de fond de la télévision, ou de pas dans l'immeuble, murmures, légers mouvements de rideaux : chaque son semble s'amplifier à l'oreille alerte, attentive, en attente. A l'écoute des voix du monde qui donnent des nouvelles du large et de la mer qui se déplace dans l'imagination. Il reste de longs moments devant le paysage statique de la rue, à attendre "la compagnie des oiseaux" . Il regarde ce qui change, ce qui se déplace, ce qui disparaît. Il compte les morts. Jour après jour, la ville s'efface à force de ne plus être visible, rue après rue, quartier après quartier. Tout disparaît dans notre dos. Le Grand vivier est le livre de l'air qui circule entre les hommes et les choses arrêtées, et Giovannoni dépeint une humanité prise dans la résine comme les insectes, alors que partout le printemps pousse sa germination. "Peut-être y a-t-il dans l'air des frontières à ne pas dépasser" , dans cette vie entourée de monstres invisibles qui nous dévorent et de fantômes qui nous habitent, brutalement confrontés à notre intériorité, à la porosité de notre corps aux infections, aux maladies qui pullulent et prolifèrent en nous : humanité consommable abandonnée à la voracité de l'invisible. Et quand à nouveau sortir devient possible, que l'on redécouvre la rue, que l'on repousse la limite des quartiers, que l'on retrouve la parole, on retrouve aussi un monde qui s'était habitué à notre absence. Qu'est-ce qui circule dans un monde débarrassé des hommes ? L'air, l'espace laissé vacant, mais l'espace sans hommes n'est pas vide pour autant. Dans l'intervalle on a diminué, on a perdu de soi, on ne sait pas bien quoi. On a beau retrouver l'extérieur, "si on sort, on ne sort pas de soi" . La pandémie est un monde giovannonesque, qui révèle et rassemble toutes les obsessions que l'auteur creuse depuis Les mots sont des vêtements endormis (1983) jusqu'à Sous le seuil (2016) - le rapport à l'espace, le virus incontrôlable des mots, les germinations, les vies exogènes qui grouillent en soi, l'impossibilité de sortir de ses pas. Le Grand vivier est un livre qui se referme comme un requiem, dans un éternel adieu aux morts qu'on ne finit jamais de quitter : "le monde est vide" sans les fantômes.

04/2023

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Jardinage

Le jardin vivrier. Autosuffisance et non-travail du sol

Agir au quotidien selon ses convictions ? C'est le choix qu'a fait Marie-Thérèse Thévard (Marie-Thé, pour les intimes) il y a une trentaine d'années en développant avec succès son autosuffisance alimentaire en non-travail du sol au Saguenay, sa région d'adoption au Québec. Le jardin vivrier est le récit de ses pratiques, convictions et recherches pour incarner un mode de vie écologique fondé sur l'indépendance vis-à-vis des énergies fossiles, la résilience, l'alimentation saine, la permaculture, l'agroécologie et la vie en communauté. Elaboré de façon à suivre mois par mois toutes les étapes pour obtenir un potager biologique foisonnant, ce manuel détaille les principes et techniques pour cultiver des légumes, des fruits, des légumineuses et même des céréales. Un principe conducteur guide sa démarche : le non-travail du sol. Devant l'épuisement des sols qui est le lot de l'agriculture industrielle, Marie-Thé défend ale génie du sol", en évitant de le labourer tout en l'enrichissant de paillis. Tout cela en climat boréal, dans un contexte jugé difficile pour la culture maraîchère. Les nombreuses années d'expérience de Marie-Thé vous apprendront : les principes de la permaculture, de l'agroécologie et du non-travail du sol ; les associations de cultures pour créer un écosystème vivant et résilient ; les techniques de protection des cultures contre le froid ; les moyens biologiques de se débarrasser des principaux ravageurs ; une boîte à outils pour organiser votre jardin (entreposage, outils, calendriers de semis, de plantations et de récoltes) ; des méthodes de conservation des légumes et des recettes de saison ; l'essentiel à savoir concernant l'élevage de volailles. Rédigé par la fille de Marie-Thé, Le jardin vivrier est le manuel essentiel pour réussir son jardin vivrier en non-travail du sol et parvenir progressivement à l'autosuffisance alimentaire. Richement illustré de schémas et de photos, cet ouvrage est un incontournable du jardinage écologique.

06/2021

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