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Livres, actualités : tout sur Cécile Coulon

Née le 13 juin 1990, Cécile Coulon publie son premier roman à l'âge de 16 ans, Le Voleur de vie, en 2007, aux éditions Revoir. En 2010, elle récidive avec Méfiez-vous des enfants sages, aux éditions Viviane Hamy. Ses talents sont rapidement remarqués, puisqu'elle reçoit le Prix Mauvais genre dès 2012.

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Dossier

Quand ranger ses livres n'est plus un casse-tête

Agencer ses livres, les organiser, les mettre en valeur dans un intérieur, et par conséquent habiller, voire décorer ce dernier... Ce dossier soumet des propositions de rangement avec une ambition : rehausser un espace bibliothèque. Dans toutes les pièces de la maison, apporter une coloration culturelle à son chez-soi, et ce, à travers des étagères originales.

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Dossier

Foire du livre de Londres

Née en 1971, la Foire du Livre de Londres est l'un des plus importants événements consacrés au livre d'Europe : elle se déroule chaque année à Londres et s'adresse uniquement aux professionnels, sur 3 journées consécutives auxquelles s'ajoutent souvent des ateliers ou des journées d'étude. Pensée comme une grande plateforme d'échanges de droits, la Foire développe depuis plusieurs années un côté transmédia, pour mettre en valeur le cinéma, la télévision ou encore les jeux vidéo, parallèlement aux livres.

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Livres, actualités : tout sur Marc Levy

Né le 16 octobre 1961 à Boulogne-Billancourt, Marc Levy connait plusieurs carrières avant de se mettre à l'écriture : le succès de son premier roman, Et si c'était vrai, en 2000, l'incite à se consacrer exclusivement à son activité d'auteur. Bien lui en a pris : à un rythme qui devient rapidement annuel, Marc Levy publie un roman qui devient presque automatiquement un ouvrage classé dans la liste des meilleures ventes.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Marc Levy

À 18 ans, Marc Levy s’engage dans la Croix Rouge et il y passe 6 ans. Puis, après avoir créé une société spécialisée dans les images de synthèses en France et aux États-Unis, il dirige un cabinet d'architecture. 

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Dossier

Le Salon international du Livre rare et de l'autographe

Le Salon international du Livre rare et de l'autographe est organisé chaque année par le SLAM, Syndicat de la Librairie Ancienne et Moderne, sous la verrière du Grand Palais, à Paris. L'événement attire environ 160 exposants, libraires, galeries d’estampes et de dessins de 12 pays différents, dont une soixantaine de libraires venus de l'étranger.

Extraits

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Littérature française

Le voleur

" Education. La chasse aux instincts. On me reproche mes défauts ; on me fait honte de mes imperfections. Je ne dois pas être comme je suis, mais comme il faut. Pourquoi faut-il ?... On m'incite à suivre les bons exemples ; parce qu'il n'y a que les mauvais qui vous décident à agir. On m'apprend à ne pas tromper les autres ; mais point à ne pas me laisser tromper. On m'inocule la raison - ils appellent ça comme ça - juste à la place du cœur. Mes sentiments violents sont criminels, ou au moins déplacés ; on m'enseigne à les dissimuler. De ma confiance, on fait quelque chose qui mérite d'avoir un nom : la servilité ; de mon orgueil, quelque chose qui ne devrait pas en avoir : le respect humain. Le crâne déprimé par le casque d'airain de la saine philosophie, les pieds alourdis par les brodequins à semelles de plomb dont me chaussent les moralistes, je pourrai décemment, vers mon quatrième lustre, me présenter à mes semblables. J'aurai du savoir-vivre. Je regarderai passer ma vie derrière le carreau brouillé des conventions hypocrites, avec permission de la romantiser un peu, mais défense de la vivre. J'aurai peur. Car il n'y a qu'une chose qu'on m'apprenne ici, je le sais ! On m'apprend à avoir peur. "

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Littérature française

Le voleur

Georges Randal, jeune homme de bonne famille promis à l'existence d'un bon bourgeois, découvre sa vraie vocation quand son oncle le dépouille de son héritage. Il sent alors peser sur lui l'obligation morale de ne pas être complice des voleurs légaux : révolté contre le monde où il vit il fera du vol son métier. Il est vite repéré par le mystérieux abbé Lamargelle qui l'introduit dans la confrérie des voleurs et l'élite de la canaille. Suivent diverses aventures provoquées par des hasards et des rencontres dans des décors de théâtre et de bals masqués où les rideaux dissimulent des ombres et où les cadavres se mettent à parler. Mais l'essentiel n'est pas là car Georges Darien, anarchiste militant (et peut-être lui-même voleur professionnel, le doute demeure), se soucie peu d'écrire un roman traditionnel. Ses personnages, libérés des servitudes et des lâchetés bourgeoises, improvisent entre deux cambriolages des réquisitoires passionnés contre une société qui non seulement permet et encourage le vol légal, mais encore "poursuit, avec le knout du respect, l'unité dans la platitude" . Selon André Breton, "Le voleur", où se mêlent le romanesque le plus fantaisiste et la satire sociale la plus âpre, "est le plus rigoureux assaut que je sache contre l'hypocrisie, l'imposture, la sottise, la lâcheté" .

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Histoires à écouter

Au voleur

Filou l'écureuil a caché ses provisions de glands pour l'hiver. Mais le lendemain son trésor a disparu. Qui est le coupable ? Le geai des chênes, grand amateur de glands ? le Père blaireau qui se promène la nuit ? La terrible bête noire de la forêt ? Une aventure pleine de rebondissements, jouée par des comédiens, et réalisée comme un dessin animé sonore. En prime, douze chansons originales chantées par des enfants (textes et partitions inclus), ainsi qu'un documentaire sur les vrais chants et cris des animaux de l'histoire. Le livre résume et illustre joliment l'histoire. Le CD est accompagné d'une version numérique à télécharger.

09/2023

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Littérature française

Le voleur

Georges Randal, jeune homme de bonne famille promis à l'existence d'un bon bourgeois, découvre sa vraie vocation quand son oncle le dépouille de son héritage. Il sent alors peser sur lui l'obligation morale de ne pas être complice des voleurs légaux : révolté contre le monde où il vit il fera du vol son métier. Il est vite repéré par le mystérieux abbé Lamargelle qui l'introduit dans la confrérie des voleurs et l'élite de la canaille. Suivent diverses aventures provoquées par des hasards et des rencontres dans des décors de théâtre et de bals masqués où les rideaux dissimulent des ombres et où les cadavres se mettent à parler. Mais l'essentiel n'est pas là car Georges Darien, anarchiste militant (et peut-être lui-même voleur professionnel, le doute demeure), se soucie peu d'écrire un roman traditionnel. Ses personnages, libérés des servitudes et des lâchetés bourgeoises, improvisent entre deux cambriolages des réquisitoires passionnés contre une société qui non seulement permet et encourage le vol légal, mais encore "poursuit, avec le knout du respect, l'unité dans la platitude". Selon André Breton, "Le voleur", où se mêlent le romanesque le plus fantaisiste et la satire sociale la plus âpre, "est le plus rigoureux assaut que je sache contre l'hypocrisie, l'imposture, la sottise, la lâcheté".

04/2023

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BD tout public

Journal du Voleur

"N'est pas Narcisse qui veut. Combien se penchent sur l'eau qui n'y voient qu'une vague apparence d'homme. Genet se voit partout ; les surfaces les plus mates lui renvoient son image ; même chez les autres, il s'aperçoit et met au jour du même coup leur plus profond secret. Le thème inquiétant du double, image, sosie, frère ennemi, se retrouve en toutes ses oeuvres. Chacune d'elles a cette étrange propriété d'être elle-même et le reflet d'elle-même. Genet fait apparaître une foule grouillante et touffue qui nous intrigue, nous transporte, et se change en Genet sous le regard de Genet. Dans le Journal du voleur, le mythe du double a pris sa forme la plus rassurante, la plus commune, la plus naturelle : Genet y parle de Genet sans intermédiaire ; [. . . ] Son autobiographie n'est pas une autobiographie, elle n'en a que l'apparence : c'est une cosmogonie sacrée. Ses histoires ne sont pas des histoires : elles vous passionnent et vous fascinnent mais vous croyiez qu'il vous racontait des faits et vous vous apercevez soudain qu'il vous décrit des rites ; s'il parle des mendiants pouilleux du "Barrio Chino" c'est pour agiter somptueusement des questions de préséance et d'étiquette : il est le Saint-Simon de cette Cour des Miracles. Ses souvenirs ne sont pas des souvenirs : ils sont exacts mais sacrés ; il parle de sa vie comme un évangéliste, en témoin émerveillé. . . si pourtant vous savez voir, à la jointure, la ligne mince qui sépare le mythe enveloppant du mythe enveloppé, vous découvrirez la vérité, qui est terrible". Jean-Paul Sartre.

10/1993

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Littérature étrangère

Voleur, espion, assassin

"Dans la vie, il n'y a pas de tragédies, il y a soit de l'amour, soit le vide. Et pour comprendre la vie des autres, il faut avoir vécu la sienne". Narrateur dans la plus belle tradition russe, intellectuel averti et fin connaisseur des vicissitudes soviétiques, Iouri Bouïda nous livre avec Voleur, espion et assassin une autobiographie d'envergure. De son enfance d'après-guerre dans la région de Kaliningrad jusqu'aux premiers bouleversements de la perestroïka, Bouïda n'évoque jamais la violence et la désolation du quotidien sans recours au burlesque : des toilettes gelées, de l'érotisme au milieu de ruines teutoniques et des discours que plus personne n'écoute. Puisque la plupart des autres préfèrent la vodka, notre héros monte rapidement l'échelle sociale. Il devient membre du Parti communiste, rédacteur en chef d'un quotidien au fin fond de la campagne, puis chargé de la communication au comité régional du Parti. C'est l'écriture qui va le sauver, même s'il doit s'y reprendre à plusieurs fois avant de saisir ce que sa grand-mère lui disait avant sa mort : "La liberté, c'est toi. Seulement, n'oublie jamais que la prison aussi, c'est toi". Né après la mort de Staline, marqué par un système politique et social en déclin, Bouïda dresse le portrait d'une société aussi défaillante que débrouillarde, aussi cruelle que capable de tendresse. Voleur, espion et assassin nous parle du courage individuel, de l'intégrité malgré tout, et d'une joie de vivre indéfectible.

03/2018

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