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Le 20/02/2015 à 08:04 par La rédaction
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20/02/2015 à 08:04
Nana B Agyei, CC BY 2.0
Une femme recherche le premier amour de sa mère à partir des carnets qu'elle a trouvés après sa mort. Un retour dans les années de la deuxième guerre mondiale. L'écriture comme fil rouge d'une vie...
J'ai bien connu ta mère, de Claude-Sophie Gibrat,
Edouard FRANCHEL, professeur d'histoire fraîchement retraité, se trouve confronté à une question qui l'obsède : pourquoi a-t-il été attiré par ce métier et surtout par cette discipline ? En réalité, cette quête est un prétexte. Le goût pour l'Histoire lui est peut-être venu des événements de la seconde guerre mondiale auxquels son père a été mêlé, et dont sa mère, couturière de métier, lui a innocemment dévoilé des bribes, à petites doses, avant qu'il ne s'évade de la cellule familiale.
De fil en aiguille, de Michel Bas
Sur un monde, que se partagent deux continents radicalement opposés et séparés par un immense abyme le combat entre les Mages et les Sorciers va chambouler l'ordre établi depuis dix mille ans. Sur les Terres d'Antyras - pays matriarcal - la magie n'existe pas. Les humains y vivent docilement sous l'égide du Grand Temple et de ses représentantes omniprésentes : les Mères. Ces dernières, responsables entre autre, de l'éducation du peuple, se gardent bien d'évoquer les Terres d'Avalyn et la Magie. Pour les Antyriens, rien n'existe au-delà de l'abyme. En revanche, sur les Terres d'Avalyn la vie y est tout autre. Un patchwork de peuples aux moeurs et aux caractéristiques très diverses se partagent les terres : Mages, Sorciers, Elfes, Dragons, Gobelins, Finaï, Acarans, Nâgas. Sur les Terres d'Antyras vit Ethan, seize ans. Il coule des jours heureux, entouré de ses parents au sein d'Ythéria, petit village isolé à la périphérie du monde. Ses principaux soucis résident essentiellement à approcher la jeune et belle Mira et d'arriver chaque matin à l'heure pour La Parole : l'enseignement religieux promulgué par la Mère Armania. Mais le destin en a décidé autrement, lorsque dix-huit ans plus tôt, une ancienne prophétie, protégé par un puissant sort, resurgit sur les Terres d'Avalyn.
Gardiens, la prophétie des éléments, tome 1 de Tollum James
Ethan et ses compagnons sont parvenus à Endraïle, mais il s'avère que le jeune Ythérien n'est pas l'un des Gardiens. Le Haut Conseil le soupçonne en outre d'être une arme utilisée par les Sorciers pour éliminer les enfants de la prophétie. Entre deux maux, les Sages décident tout de même de l'autoriser à rester au Palais des Mages afin de le surveiller. Ce jeune homme intrigue particulièrement le Haut Sage Allarus et l'énigmatique Mage elfique. A mesure que Hala et les trois autres Gardiens apprennent à se connaître et qu'Irina se démène pour préserver la ville d'Antalia des assauts des soudards, Ethan recherche des informations le concernant : qui est-il ? Mais, voilà que l'un des Gardiens est la cible d'un attentat. Tous les yeux se tournent alors vers le jeune homme qui ne cesse de clamer son innocence. Qui pourra alors apporter la lumière sur ces mystères et aider nos héros ? Où les mèneront les prophéties ? Rejoignez Ethan et ses amis pour découvrir les différents peuples des Terres d'Avalyn : Elfes, Acarans, Ictars, Finaï, Dragons, Rockshriim, Nâgas, Drows. et la Prêtresse lunaire.
La prophétie des éléments, la prêtresse lunaire, de James Tollum
Nombreuses sont les choses effrayantes, mais rien n'est plus effrayant que l'homme. " Sophocle Antigone 1er janvier 1996, peu après minuit. La nuit alentour efface les derniers bruits, les dernières lumières du réveillon. C'est une nuit opaque, froide d'hiver d'un petit bourg à la frontière suisse. Tout à coup, cinq coups de feu claquent, la rouge tragédie déchire le voile de scène, de brouillard et de nuit. Le petit bourg d'Ornex est devenu, dans l'ordre humain, universel. A deux pas, dans l'obscurité d'une maison pavillonnaire, un père vient d'abattre ses deux enfants. L'arme du crime est une carabine 22 long rifle, offerte par le grand-père des enfants parce que le destin est aveugle. La petite est morte, le garçon mourra à l'hôpital de Genève peu après. A 250 kilomètres, la mère d'Hélène et Christophe dort chez elle. Le récit qu'elle écrira est un long cri déchirant, parfois halluciné mais toujours d'une implacable précision. Nous assistons à une descente aux enfers dans l'unité de temps et d'action de la tragédie antique. Cette jeune femme sensible et forte est ainsi la bouche d'ombre et de soleil qui traque le malheur jusque dans les détails. Nous ne sortons pas indemne d'une pareille lecture mais plus avertis de notre humanité partagée. Nous défions quelque lecteur que ce soit d'abandonner cette mère en quête de résurrection jusqu'à la dernière ligne confessée.
A bout touchant, de Carole Rognon
Que se passe-t-il, ce matin-là, sur la lande bretonne, quand Alice, 6 ans, se jette sur sa mère, au volant, effrayée par un camion, provoquant leur accident ? Pourtant, la route est déserte. Quel rapport a-t-elle avec cette petite fille, qui lui ressemble comme deux gouttes d'eau, victime, au même moment, d'un camion, sur une autoroute italienne ? Quel est ce lien invisible qui semble les relier ? Quel est le mystère de la naissance d'Alice, de ses maux imaginaires, de ce manque perpétuel d'un double ? " Il y a parfois des choses invisibles, tu sais que ça existe, mais tu ne les vois pas. " L'explication est-elle paranormale ou génétique ? La vieille Maura préfère se réfugier dans ses superstitions ancestrales. " Les mouettes volent bas, ce soir. L'Ankou cherche sa proie. "
Le lien invisible, de Michèle Letellier,
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