Boonstra s'est rendu aux quatre coins du monde pour rencontrer des traducteurs du Petit Prince, dans différentes langues menacées : le tibétain, le tamazight (une langue berbère), le sámi (langue d'autochtones du nord de la Suède, de la Norvège et de la Finlande) et le náhuat (Amérique centrale).
Dans le film, les traducteurs, mais aussi des chercheurs et des enseignants évoquent l'importance du Petit Prince, mais aussi les difficultés rencontrées pour traduire le texte français et rendre la poésie des mots de Saint-Exupéry.