L’année dernière, la ville du Puy-en-Velay se déchirait autour d’une petite rue pentue nommée Maurice Barrès. En cause : l’antisémitisme de l’auteur des Déracinés. Dans le Figaro Magazine du 11 août dernier, le député de Seine-et-Marne Les Républicains (LR) et historien de formation, Jean-Louis Thiériot en appelle à la Réconciliation nationale par l’entremise de la figure controversée. Drôle d’idée qui a engendré des remous…
Le 16/08/2023 à 13:14 par Hocine Bouhadjera
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16/08/2023 à 13:14
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« Barrès s’éloigne, mais Barrès nous hante », s'avance l’élu de droite, et d’affirmer : « Exilé avec les grands dévoyés de la plume dans l’enfer des bibliothèques pour les inqualifiables propos qu’il avait tenus durant l’affaire Dreyfus, statufié dans le marbre de l’écrivain patriote, recru des grandeurs d’établissement, Académie ou Chambre des députés, étiqueté nationaliste avec Maurras ou Déroulède, on ne le lit plus guère. Pourtant, quel rôle il joua ! »
La figure de Maurice Barrès n'est pas d'un seul bloc : le romancier débuta en littérature à l’avant-garde, jusqu’à devenir chef de file des « Décadents ». Dans cette période de l’après-défaite face à la Prusse en 1870 — Maurice Barrès est né en 1862 —, la France est marquée par une rébellion contre les normes esthétiques et morales traditionnelles, une fascination pour le déclin et la décadence, ainsi qu’une exploration profonde des dimensions les plus sombres et intimes de l’âme humaine.
Dans ce contexte, un groupe d’écrivains, d’artistes et de penseurs s’est formé, rejetant les valeurs bourgeoises dominantes et cherchant à rompre avec les conventions littéraires et artistiques. Bien que ses affiliations avec les Décadents aient été plus courtes et moins intenses que celles d’autres figures emblématiques comme Paul Verlaine ou Joris-Karl Huysmans, elles ont été pour Maurice Barrès significatives.
Barrès était notamment attiré par l’individualisme et le culte de la personnalité qui caractérisaient le mouvement : « Il était du parti de la rêverie, de l’enthousiasme, de l’émotion qui ne se décrit ni en équation ni en concept. On l’a dit anarchiste. Il fut en tout cas dandy, esthète, passionné d’art, en lutte contre “les barbares”, les hommes de rimes et de raison qui bridaient sa sensibilité », avance le député.
Son attachement à cette mouvance est particulièrement visible dans sa revue, Les Taches d’encre, qu’il fonde en 1884. Une phase de sa vie relativement brève finalement, avant d’évoluer vers une forme de nationalisme intense et introspectif quand Huysmans se tourna de son côté vers la foi. Les deux abandonnent ainsi les préoccupations purement esthétiques, qui sont une philosophie en soi. L'occasion de rappeler qu'une grande part de tout positionnement politique est toujours tributaire d'une approche esthétique.
Son premier roman, Sous l’œil des barbares, édité en 1888, inaugure la trilogie du « Roman de l’énergie nationale ». Il y déploie son grand concept de « la terre et les morts ».
Jean-Louis Thiériot décrit : « L’enracinement de Barrès, c’est la mémoire des paysages que l’on a parcourus, c’est le souvenir des pères qui ont fait les fils, c’est savoir habiter le monde pour savoir d’où l’on vient et d’où l’on parle, pour “nous sauver d’une anarchie stérile”. »
En résumé : le Travail, famille, patrie bien connu... Mais de mentionner, au crédit de l'auteur mort il y a 100 ans, dans Scènes et doctrines du nationalisme : « Nous ne sommes point une race, mais une nation ; elle continue chaque jour à se faire et, sous peine de nous diminuer, de nous anéantir, nous, individus qu’elle encastre, nous devons la protéger. »
Le député est formel : « Si la distinction entre patriotisme — l’amour des siens — et nationalisme — la haine des autres — a un sens, elle s’applique bien à Barrès. » Et d’en faire l’écrivain du régionalisme face à la centralisation jacobine.
Le Vosgien né en 1862 fut autant un auteur qu’un politicien engagé durant des décennies. Après s’être tenu derrière le général Boulanger lorsque ce dernier faillit atteindre le pouvoir en 1888, il devient député à Nancy en 1889 et 1893. Il est ensuite député de Paris pendant 17 ans, de 1906 à sa mort. La Première Guerre mondiale et ses lendemains le placent comme un penseur influent du nationalisme français, notamment par sa position de Président de la Ligue des patriotes à partir de 1914.
L’engagé LR Jean-Louis Thiériot rappelle : « Ses obsèques nationales le 8 décembre 1923, en présence du président de la République et du maréchal Foch, escorté par la garde bleu horizon des poilus qu’il avait tant aimés, furent un grand moment de concorde, à l’égal des obsèques d’Hugo et de Zola. Et de De Gaulle à Malraux, en passant par Mauriac ou Senghor, ils furent nombreux, tout au long du XX siècle, à exprimer le tribut intellectuel qu’ils lui devaient. »
Devenu Académicien français à partir de 1906, Maurice Barrès tire une part de sa respectabilité de son art d’écrivain, salué par des figures aussi éloignées que le communiste Louis Aragon ou le royaliste Charles Maurras. Il est également avéré que Maurice Barrès fut un antidreyfusard antisémite, ce que révèlent bon nombre d’articles qu’il rédigea dans les années 1890-1900.
Néanmoins, il évoluera sur cette question, notamment dans son texte Les diverses familles spirituelles de la France, paru en 1917, où il replace les Juifs français dans « le génie national », et rend hommage aux morts juifs de la Grande Guerre. Pour le député LR, « Barrès tentera de mener à bien une œuvre de réconciliation morale. En un temps où n’existait pas la repentance, c’est un post-scriptum, un rectificatif, voire un mea culpa, après tant de haines déversées pendant l’affaire Dreyfus. »
S'il ne rejoindra jamais l’Action française, comme le souligne Jean-Louis Thiériot, « malgré de nombreuses tentatives de Charles Maurras », il partage avec le mouvement royaliste beaucoup de points communs, jusqu'à être considéré par certains comme un précurseur intellectuel de ce dernier.
Maurice Barrès défendait un sentiment individuel et l'attachement émotionnel à la nation, tandis que Maurras prônait un nationalisme plus rationaliste et institutionnel, ce qui n'a pas empêché l'écrivain de globalement soutenir le mouvement et ses objectifs, malgré des désaccords ponctuels.
Jean-Louis Thiériot conclut : « Catholiques, royalistes, républicains, socialistes : pour lui, tous les partis peuvent réclamer Jeanne d’Arc. Mais elle les dépasse tous. Nul ne peut la confisquer. C’est autour de sa bannière, que peut s’accomplir aujourd’hui, comme il y a cinq siècles, le miracle de la réconciliation nationale. Dans notre France du XXIe siècle, en voie d’archipélisation, c’est sans doute ce qui est le plus actuel de la France selon Barrès. L’engagement à temps et à contretemps, pour l’unité perdue. »
Une approche de l’écrivain de la terre et des morts qui laisse perplexe le média Times of Israël qui relève que le député « exalte “la place de Maurice Barrès dans l’édification de notre imaginaire national”, sans trop revenir sur son antisémitisme et son antidreyfusisme ». Et de rappeler précisément une phrase de l’auteur des Déracinés : « Dreyfus est un traître, je le déduis de sa race. »
Cette défense de Maurice Barrès a également fait bondir dans la classe politique : pour la députée Renaissance de la 3e Paris circonscription de Paris, Caroline Yadan, « la tentative de réhabilitation par mon collègue Jean-Louis Thiériot de l’antisémite Maurice Barrès, qui ne peut faire partie de notre “imaginaire national”, est inacceptable et indigne. Quand la Bête immonde renaît de ses cendres, à droite ou à gauche de l’échiquier politique, elle doit être identifiée et faire l’objet des condamnations qui s’imposent. Sans réserve aucune. »
Le député LFI de la 1e circonscription de la Haute-Garonne, Hadrien Clouet, déclare de son côté : « Le Figaro fait donc l’apologie d’un antisémite et raciste acharné, antidreyfusard donc traître à la patrie républicaine. Il n’est pas “exilé” mais justement condamné par tous les partisans des droits de l’homme. Chapeau ! »
Le député insoumis de Seine–Saint-Denis Thomas Portes, parle encore de « l’éloge d’un antisémite notoire », et le député LFI de Loire-Atlantique, Matthias Tavel, d’une entreprise « abjecte ».
Côté chercheurs, Oliver Schmitt, du Center for War Studies, constate : « Si le projet culturel de la droite “mainstream” c’est réhabiliter Barrès et Maurras, un antisémite et un traître, on sait à quoi s’en tenir… »
Le « premier streamer politique sur Twitch », Jean Massiet, met lui en scène : « - Comment faire pour réhabiliter Maurice Barrès malgré son antisémitisme ? - Bah on n’a qu’à mettre une citation sur le déracinement provincial, personne ne fera le lien avec les juifs alors que lui le faisait très clairement - ah ouais pas con. »
Une odeur de soufre entourant l’écrivain nationaliste qui n’a pas empêché le député de la Somme François Ruffin d’y faire référence pour évoquer la question de l’indépendance des médias face aux forces du capital. Un aspect pointé par le journaliste fondateur de Médiapart, Edwy Plenel.
Aujourd'hui, Maurice Barrès est une des références principales d'une certaine extrême droite française, d'Éric Zemmour à Philippe de Villiers, avec des figures comme Charles Maurras ou Jacques Bainville. Jean-Louis Thiériot semble avoir tenté ici de construire un pont entre l'auteur du Culte du moi et la droite qui, historiquement, se veut l'héritière du gaullisme. Manœuvre des plus délicates...
En mai dernier, le député Les Républicains faisait déjà l'actualité en déposant une proposition de loi, « visant à protéger l’intégrité des œuvres des réécritures idéologiques » à l'Assemblée nationale. Sa crainte : éviter que Molière ne subisse le même sort que Ian Fleming, Roald Dahl ou Agatha Christie...
Une polémique autour de la figure de Maurice Barrès avait déjà surgi en 2022 à un an de la commémoration du centenaire de la disparition de l’écrivain, prévue dans le programme de l’année de France Mémoire, qui organise les célébrations nationales. Dans les colonnes de Libération, Yves Bruley, historien et directeur de France Mémoire, détaillait les motivations de cette commémoration.
« Barrès était un homme très influent à son époque. Antisémite, xénophobe et nationaliste… Ces trois sujets existent encore aujourd’hui et pas seulement en France. Ce choix a donc une vraie résonance avec le présent. Il est important que l’opinion publique soit éclairée sur son influence avec des connaissances précises du contexte historique de l’époque, fiables et non politisées », explique-t-il.
À LIRE - Le musée Roald Dahl condamne l'antisémitisme de l'auteur
Il rappelle par ailleurs que « commémorer n’est pas célébrer », une formule qui laisse toutefois des historiens et des historiennes dubitatifs, à l’instar de Marie Peltier, historienne belge : « Il n’y a pas besoin de commémorer pour faire connaître l’histoire. [...] Il faut plus que jamais les analyser, connaître leur courant idéologique et leur formation historique, mais en les enseignant plus qu’en leur rendant hommage. »
Crédits photo : Pascal Chottin (CC BY-SA 4.0) / Domaine public
11 Commentaires
Aurelien Terrassier
16/08/2023 à 13:31
Jean-Louis Thieriot a déjà fait des siennes avec son projet de loi démagogique voulant interdire la réécriture des livres tout en incriminant la "culture woke". De là à légitimer surtout des écrivains d'extrême droite tout en salissant la mémoire de grands auteurs il n'y a qu'un pas je dirai. Rien de très étonnant de voir ainsi que Jean-Louis Thieriot rende hommage à un écrivain antisémite d'extrême droite. Avec Éric Ciotti, LR devient un parti d'extrême droite en conccurence directe avec le RN surtout depuis leurs propositions abjectes en matière d'immigration. Ce que je comprends moins en revanche c'est de l'autre côté de l'échiquier politique, François Ruffin fait référence à Maurice Barres pour parler de l'indépendance alors qu'il aurait pu citer un écrivain respectable comme André Malraux par exemple. C'est une faute politique de la part du député Lfi mais avec le temps, cette erreur sera pardonnée.
NAUWELAERS
20/08/2023 à 00:38
Aurelien Terrassier fait encore des siennes en défendant les dérives woke qui salissent les oeuvres honteusement réécrites par des iconoclastes opportinistes avides de fric !
Stop à l'inculture pontifiante et donneuse de leçons, prenez des vacances et ouvrez un livre (bon, une lourde épreuve pour vous s'il s'agit d'un livre consistant), en oubliant d'inonder les forums de vos logorrhées rances et stupides.
CHRISTIAN NAUWELAERS
Aurelien Terrassier
26/08/2023 à 18:07
Aucune leçons à recevoir de votre part monsieur Nauwelaers. Exprimez vous c'est votre droit le plus strict mais par contre je ne peux plus débattre avec vous depuis certains de vos propos en plus de vos idées mais je ne m'etalerai là-dessus ça n'est pas le sujet. Les délires anti-woke complotistes proférés ici et là par des intellectuels neo-reacs dans la presse de droite et d'extrême droite rarement dans celle de gauche excepté Liberation, ont tous été démontés par des universitaires de renom.
Archiste
17/08/2023 à 09:57
Personne ne doute de l'imbécillité de M. Thiériot, mais, par contraste avec ses adversaires, il passe pour une sorte de petit génie. Réduire Barrès, l'écrivain français le plus influent de tout l'entre-deux siècles (mais vraiment, personne n'a idée de la charge d'influence qu'un type quasiment oublié comme lui a pu avoir sur plusieurs générations, quel que soit leur orientation politique) à un "écrivain antisémite", c'est un peu comme graver sur la tombe de Gide : "écrivain homosexuel".
Toutes les réactions gauchistes offensées puent l'opportunisme polémiste, l'achat honteux de quelques secondes d'existence sur les réseaux sociaux au prix des derniers lambeaux d'inculture qu'il leur restait à s'arracher (Jean Massiet connaissait-il seulement l'existence de Maurice Barrès avant d'en faire un tweet condescendant ?). Actualitté n'est d'ailleurs pas en reste, en étalant imprécision sur imprécision, entre histoires de "culte de la personnalité" (pure invention, alors que tout est sur Wikipédia), et machins type "Sous le soleil des barbares" inaugurant le cycle de l'énergie nationale (n'importe quoi, juste pour placer le mot "national" à l'aurore de l'œuvre). On appuie bien là où ça fait rance, là où ça fait bien extrême-droite, bien antijuif, et nique la vérité !
En fait le seul qui parle de Barrès et qui l'a lu, c'est le neuneu natio Thiériot... Alors qu'il aurait suffit aux journalistes, commentateurs et exégètes de X de passer dans une bibliothèque, d'ouvrir n'importe quel livre de Barrès, pour comprendre que son véritable crime n'est pas d'être un antisémite, mais bien d'être un styliste lourdingue, laborieux, à la pensée chiante et datée, bien plus encore que Maurras.
Si l'on veut combattre sérieusement le racisme, il faut simplement dire la vérité. Non pas "Barrès, écrivain antisémite", mais "Barrès, écrivain chiant". Ca, ce serait pertinent, un peu comme graver sur la tombe de Gide : "écrivain surestimé".
Aurelien Terrassier
20/08/2023 à 16:04
Le site Time of Israël précise aussi le silence du patron des LR Eric Ciotti. LR est devenu un parti de droite extrême. Même en prenant des distances avec l'antisémitisme de Maurice Barres, rien que le fait de le réhabiliter pour sa vision franchouillarde et royaliste est une énième faute impardonnable. On voit très bien la stratégie des LR en vue de 2027, aller plus sur les plate-bande de l'extrême droite plus côté Reconquete que Rn. Mais les parlementaires Rn doivent aussi apprécier même si pour le moment ils ne le disent pas ouvertement. Le RN a bien plus de references historiques récentes aujourd'hui avec l'islamophobie mais le parti d'extrême droite a toujours un fond pro-OAS et petainiste qui a déjà ressurgi et peut encore aussi ressurgir contrairement aux apparences républicaines. La bataille culturelle et intellectuelle ne fait que continuer et la balle est aussi dans le camp des partis républicains et non la Nupes n'a pas le monopole de la lutte contre l'extrême droite bien qu'elle y participe fortement.
NAUWELAERS
27/08/2023 à 00:04
Aurelien Terrassier,
Vous aimez harceler avec vos obsessions politicardes ?
Le wokisme est un poison dénoncé par des universitaires de renom, des artistes et des politiques et jusqu'à l'ex-président Obama (un démocrate).
Je n'ai que faire de vos leçons de mauvaise foi et d'ignorance crasse, d'un personnage qui nierait l'existence du sable en plein désert
Vous êtes tout sauf crédible, point barre..
CHRISTIAN NAUWELAERS
Aurelien Terrassier
27/08/2023 à 02:17
Monsieur Christian Nauwaeaers Crédible sur rien? En attendant j'argmente le plus possible contrairement à vous qui êtes un neo-reac qui n'assume pas et tient un double discours que toute personne intelligence et d'un minimum censé peut très bien décrypter à travers vos provocations et propos immondes et obscènes. Je mets des liens parfois car c'est bien pour que les gens ici voient les preuves de ce que j'apporte dans mes arguments contrairement à vous.
NAUWELAERS
27/08/2023 à 16:29
Aurelien Terrassier,
Vous ne mettez que les liens qui vous conviennent: des pamphlets idéologiques, c'est tout.
Vous n'argumentez jamais, vous assénez vos convictions d'idéologue borné niant les réalités qui vous dérangent, avec vos anathèmes d'extrême droitisation délirants qui ne riment à rien.
Douglas Kennedy et Obama, et Salman Rushdie, et Lionel Shriver etc., anti-wokes, sont donc d'extrême droite ?
Vos posts ne prouvent que votre sectarisme et votre non-crédibilité d'anthologie, avec en outre votre idiolecte ridicule qui n'est pas ma langue, vos termes incompréhensibles sauf par les idéologues délirants, dans leur aquarium dont l'eau n'est jamais renouvelée.
Je vous laisse à vos ratiocinations tournant en rond pour rien.
CHRISTIAN NAUWELAERS
Aurelien Terrassier
28/08/2023 à 08:01
Je n'argmente jamais? Contrairement à vous oui car vous tenez un double discours teinté de lyrisme et de provocations parfois très obscènes! Les personnalités que vous citez soi se trompent de combat ou soi le font constamment tout en sachant que c'est le terreau de la droite ultra-conservatrice américaine et de l'extrême droite en France. Enfin les liens que je mets ce sont des universitaires de renom autrement beaucoup mieux placés que les opinionistes et autres pseudo-universitaires dans la mouvance neo-reac. Ce sont parfois aussi les mêmes qui sont climatosceptiques par ailleurs aussi. Tout est fait pour discréditer et incriminer la gauche et le progressisme et normaliser l'extrême droite malheureusement sans aucun fondement ni aucune argumentation valable si ce ne sont que de fausses informations et souvent des insultes vis-à-vis du monde universitaire!
NAUWELAERS
28/08/2023 à 18:00
Mon discours à moi est cash, franc et intègre.
Et cohérent.
Contrairement au vôtre, vous qui êtes caricatural et intellectuellement malhonnête.
Je suis écoanxieux et plus conscient que vous de l'état dramatique de la planète.
Allez donner vos leçons de petit coq se croyant progressiste (tu parles !) à Obama, Douglas Kennedy, Lionel Shriver et autres qui se «trompent de combat»...!
C'est celâââ oui...
Non mais pour qui vous prenez-vous, à la fin ?
D'où parlez-vous ?
Vous croyez convaincre qui, à part des gogos ?
CHRISTIAN NAUWELAERS
Aurelien Terrassier
28/08/2023 à 21:47
Les gens qui viennent lire ou débattre peuvent cliquer sur des liens ici des vraies données et des faits pas une propagande réactionnaire et obscène. Vous a part des gens de droite dure et d'extrême droite qui est ce-que vous allez convaincre à part des gens égarés au centre-gauche? Personne je pense. Après pour la énième fois je n'ai plus envie de débattre avec vous.