À l’appel des urnes, nombre de Brésiliens se sont rendus aux bureaux de vote armés. En guise de munition, des livres et les réseaux sociaux pour véhiculer un message : empêcher le candidat d’extrême droite, Jair Bolsonaro, de l’emporter. Une manière de répondre aux électeurs qui, au premier tour, s’étaient photographiés avec une véritable arme à feu.