« Touche pas à ma pute », le slogan avait tout du message publicitaire potache, de la provoc' facile et inconsistante. Bref, ça prenait tous les aspects du coup de promo, alors que la France réfléchit à sanctionner les clients des prostitué(e)s. Et pour accrocher, la référence aux 343 salopes, qui réclamaient le droit à l'avortement, était manifeste.