Alejandro Gonzalez Iñárritu

Du 28 juin au 5 août 2024, l'Agence Artcurial Culture présente à Saint-Tropez une exposition culturelle dédiée à Enki Bilal, artiste visionnaire de la bande dessinée et de l'illustration. Cette exposition, Dechronos, se tiendra Place des Lices et offrira au public une immersion dans l'univers de l'artiste à travers une sélection de 70 œuvres.

C'est officiel, le réalisateur, dessinateur et scénariste français de bandes dessinées Enki Bilal a obtenu une place aux côtés d'Alejandro González Iñárritu dans le jury du Festival de Cannes 2019. La 72e édition de l'événement cinématographique se déroulera cette année du 14 au 25 mai.

C'est probablement le film qui sera le plus discuté à la sortie des salles obscures, cette semaine. The Revenant est le nouveau film-choc de Alejandro González Iñárritu, déjà célébré pour son Birdman en 2014 : il a malmené Leonardo DiCaprio pendant le tournage, prêt à tout pour enfin obtenir son Oscar, quitte à manger du foie de bison cru...

C’était le grand retour de Leo, alias DiCap' : The Revenant est l’adaptation du livre de Michael Punke, publié en janvier 2015. Il incarne ici un explorateur parti en chasse avec son équipe, dans les années 1820. Le genre de bonhomme qui aime se la mettre avec des ours, et qui généralement s’en sort bien. Mais pas ce coup-ci.

Dans le film oscarisé d'Alejandro González Iñárritu, le personnage principal campé par Michael Keaton doit traverser Time Square en sous-vêtements dans un long plan séquence qui ne fut pas sans complications au moment du tournage. Coincé à l'extérieur du théâtre St. James, alors que sa robe de chambre s'est prise dans la porte, il aura fallu traverser une véritable foule sans que la production ne puisse boucler le secteur.

Alejandro Gonzalez Iñárritu, réalisateur d'un film de super-héros : l'annonce avait de quoi surprendre, et le résultat n'est évidemment pas ce à quoi l'on pouvait s'attendre. Birdman a pour personnage principal un homme qui a pu être doué de super-pouvoirs, certes, mais dans un cadre purement cinématographique, le tout servant de prétexte à une comédie dramatique de premier ordre.

Tim Burton avait su insuffler une certaine âme pour Batman au cinéma, noire comme la nuit. Avec Batman et Batman : Le Défi, en 1989 et 1992, la franchise était dignement représentée. Mais l'ambiance ténébreuse des longs-métrages de Burton, ainsi que les sous-entendus morbides ou sexuels déplaisaient quelque peu à Warner Bros, qui allait faire prendre un tout autre virage (et visage) au Chevalier noir.

Le monde de la production cinématographique suit les lois de la jungle : à peine écarté pour cause d'emploi du temps surchargé, Alejandro Gonzalez Inarritu serait déjà remplacé à la réalisation du Livre de la Jungle, version Warner Bros. Et par Ron Howard, le grand manitou d'Hollywood. Pour autant, pas sûr que son emploi du temps ne soit plus libre.

Le Livre de la Jungle, l'œuvre la plus célèbre de l'écrivain britannique Rudyard Kipling, étant tombée dans le domaine public, deux adaptations cinématographiques devraient voir prochainement le jour. Une par les studios Disney et l'autre par la Warner (voir notre actualitté).

Le Livre de la Jungle ne manque visiblement pas de lecteurs : deux projets d'adaptation cinématographique vont se suivre, portés par deux studios rompus aux blockbusters, Warner Bros et Disney. Ces deux longs-métrages en décors réels dériveront directement de l'oeuvre de Rudyard Kipling, dans le domaine public.