En 1980, Antoinette Fouque crée la première collection de « livres parlants » Écrire, entendre qui deviendra plus tard La Bibliothèque des voix. Elle la dédie à sa mère en ces termes : « Ma mère, qui ne savait pas lire et avait grandi avec le cinéma muet, a été libérée par l’arrivée du cinéma parlant. Je voulais avec le livre audio apporter une libération semblable aux femmes illettrées et à celles qui, entre interdit et inhibition ne trouvent ni le temps, ni la liberté de prendre un livre. »