1961 fut une année d'expérimentations fragmentées pour la littérature : Raymond Queneau publiait ses Cent mille milliards de poèmes, et Marc Saporta sa Composition No. 1. Deux oeuvres qui anticipent étrangement l'hypertexte et la lecture arborescente, et qui pourraient servir de modèles pour les éditeurs de livres numériques.