Défenestré

BONNES FEUILLES - Pascal Dessaint éclaire sous la forme d'une grande fresque romanesque une affaire judiciaire et un conflit social de la fin du XIXe siècle, qui résonnent fortement avec notre époque.

BONNES FEUILLES - 1936, Monza, dans le Nord de l’Italie. Francesca, douze ans, est allongée sur la rive du Lambro, un homme mort sur elle. Il s’est effondré alors qu’il tentait de la violer. C’est Maddelena, son amie qui a fait ce qu’il fallait pour que ça s’arrête.

Un tribunal russe vient de rendre justice — et les utilisateurs lui feraient volontiers rendre gorge. En effet, plusieurs sites de streaming se voient interdire la diffusion de l’anime Death Note, ainsi que d’autres mangas qualifiés de violents par la décision. Au menu, Tokyo Ghoul et Inuyashiki, qui sont également frappés d’ostracisme par le verdict.

Pour les 100 ans de la mort de Jeanne Hébuterne, muse d’Amadeo Modigliani, le street-artist Arthur Simony organise une opération dans les librairies parisiennes où des dessins de la dame derrière le grand artiste seront soigneusement cachés notamment dans l’ouvrage Je suis Jeanne Hébuterne d’Olivia Elkaim, publié aux éditions Stock en 2017, ainsi que dans de beaux livres d’art sur l’œuvre de Modigliani.

POESIE - « Sur le plan artistique, Falzone était un prodige », estime l’écrivain et poète Jean-Louis Rambour dont le talent et la sensibilité littéraires ne sont plus à démontrer. Il vient de consacrer un tombeau, genre guère usité de nos jours, au pianiste Christopher Falzone.

En l’espace d’une année, en France, deux actes ouvertement antisémites ont été recensés, chacun ayant engendré la mort d’une femme. Ce fut Sarah Halimi, en avril 2017, défenestrée. Puis Mireille Knoll, poignardée à son domicile. Point commun : les deux femmes, retraitées, étaient juives. 

Il nous fait parfois le plaisir de venir tambouriner dans nos colonnes, fifre et clavier dans la main : Thomas Deslogis, l'homme des poèmes d'actualité, ou de l'information en poésie, sévit plus souvent chez nos confrères de Fluctuat, avec des textes bien sentis.

Il disparut à plusieurs reprises sous les noms de pseudonymes. Mais le 17 juillet 2013, Jack-Alain Léger a décidé de disparaître, définitivement. Daniel Théron, de son véritable nom, s'est défenestré à l'âge de 66 ans.

"Daimler s'en va" de Frédéric Berthet, et je me souviens... Un article de Fabienne Grolleau

Suicide à l'iPad : en Chine, les employés de Foxconn dépriment ?

Dis Céline Robinet, Faut-il croire les mimes sur parole ?