ROMAN FRANCOPHONE - Oublier mon père, c’est Alexandre qui nous raconte son enfance, une enfance marquée par un profond mal-être. Mais, paradoxalement, dans l’écriture, la douleur de vivre n’est pas perceptible dans cette remémoration. Ce sont les regards des autres sur lui qui peuvent parfois lui faire prendre conscience qu’il est possible de vivre autrement. Et de réécrire son histoire.