La course est lancée pour les 560 romans de la rentrée, qui n’auront qu’une poignée de semaines pour convaincre, ou disparaître. Cruelle course, qui, cette année, est un peu moins violente : elle compte 29 livres de moins que l’an passé. Mais pour toutes les librairies, c’est avant tout l’enfer des cartons qui débarquent à foison. Un enfer d’autant plus douloureux quand l’établissement va mal...