Great Gatsby

Suffit-il de lire pour apprendre l’anglais ? Certainement que non. Cependant, on peut mettre à profit des méthodes très bien conçues, tout en y associant la lecture régulière d’ouvrages publiés dans une édition bilingue. Et pour la compréhension de la langue à l’oral, on peut faire confiance aux séries !

Pour fêter le 125e anniversaire du supplément littéraire du New York Times, rien ne vaut un bon classement des livres favoris de cette même période. Le titre a mis à contribution ses lecteurs, établissant une sélection de 25 ouvrages incontournables. Avec, en tête de cette sélection très anglophone, Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur, de Harper Lee, publié en 1960.

Avec l’entrée dans le domaine public de nombreuses œuvres chaque année, des pans de littérature, de musique ou de cinéma deviennent biens communs. Cette année, au 1er janvier, les droits sur l’œuvre de F.Scott Fitzgerald s’épuisent : The Great Gatsby sera alors propriété de tout un chacun. Les héritiers de Fitzgerald et l’éditeur Scribner’s le déplorent — en regard des dizaines de millions d’exemplaires vendus. Mais les écrivains se frottent les mains.

Un des plus importants réseaux de bibliothèques au monde, celui de New York, la New York Public Library ou NYPL pour les intimes, fête son 125e anniversaire. Un certain nombre de célébrations et d'opérations est prévu toute l'année et, bien sûr, les livres et la lecture sont sur la liste des invités. Les bibliothécaires proposent ainsi 125 livres, les plus importants selon eux, pour revenir sur 125 ans de service public.

Le roman Gatsby le Magnifique, de Francis Scott Fitzgerald, publié en 1925, va connaitre une seconde jeunesse en 2021 avec l'entrée du texte original dans le domaine public. Le livre, sans aucun doute un des plus lus et des plus importants du XXe siècle, pourra ainsi être publié dans de nouvelles éditions, ou encore connaitre des adaptations inédites.

Dans l’une de ses pires périodes, F. Scott Fitzgerald composa la liste de 22 ouvrages qu’il pensait essentiels. Rédigée de la main de l’infirmière qui s’occupait de lui à Asheville, nous sommes en 1936, peu après l’internement de sa femme, Zelda. Et lui-même n’allait pas très fort.

ROMAN ÉTRANGER – Il aura fallu attendre plus de 32 ans pour que Jill Eisenstadt traverse l’Atlantique, alors même que son premier roman, From Rockaway sorti en 1987, a durablement marqué la littérature américaine. Et sa proximité avec Bret Easton Ellis et Jay McInerney, qui publièrent la même année Moins que zéro et Bright Lights, Big City, aurait dû la faire rayonner. Mais en France, non, du tout.

17 € pour du rêve...

Un cambriolage est survenu à Thetford (comté de Norfolk, nord-est de Londres), le 8 janvier dernier. Parmi les objets volés, des livres rares d’une valeur de plusieurs dizaines des milliers d’euros. Et notamment une édition originale d’Harry Potter, d’une valeur supérieure à 45.000 €. 

Le manuscrit original de Gatsby Le Magnifique vient de paraître aux éditions des Saints Pères - et le résultat est bluffant. L’ouvrage, avec la belle écriture de Francis Scott Fitzgerald, a fait l’objet d’un tirage de 1800 exemplaires, numérotés à la main. Cinq choses à savoir autour du manuscrit de l’un des plus grands textes de la littérature américaine du XXe siècle, dont l’auteur souhaitait qu’il soit « quelque chose de neuf — quelque chose d’extraordinaire, et beau, et simple, et méticuleusement composé », tout simplement. 

C’est le premier titre américain que proposent les Éditions des Saints-Pères : The Great Gatsby ne manque ni de ratures ni de corrections, ajoutées par Francis Scott Fitzgerald. C’est aussi l’occasion de découvrir une multitude de détails jusqu’à lors peu connus dans la création de ce roman emblématique de la littérature américaine.  

Tout débuta avec un manuscrit d’Amélie Nothomb, pour aboutir 6 ans plus tard à l’ouverture d’une agence à New York. Les éditions des Saints Pères sont nées d’une envie, « et la littérature n’a pas de frontières ». Nicolas Tretiakow et Jessica Nelson, cofondateurs, écrivent un nouveau chapitre de cette histoire, et pas des moindres.

La lecture de Gatsby le Magnifique pourrait laisser croire que la fortune du magnat créé par Francis Scott Fitzgerald relève de la plus pure imagination, mais les années 1920, aux États-Unis, colportaient leur lot de paillettes et de dollars. Le manoir qui inspira celui de Jay Gatsby à l'auteur existe bel et bien, à Great Neck, à New York. Il appartenait à Mary Harriman Rumsey, héritière d'un ponte de l'industrie ferroviaire, mais pourrait bientôt vous accueillir.

Hautain, odieux et orange, Donald Trump est devenu le punching-ball préféré d'internet, et en particulier de Twitter où il a dernièrement eu l'honneur d'être cité par Stephen King et JK Rowling, excusez du peu. En suivant le hashtag #TrumpBiographyTitles, les internautes se sont laissés à imaginer les titres potentiels de la biographie du président des États-Unis...

Si Aragon jurait n’avoir jamais appris à écrire, Hunter S. Thompson avait une méthode bien à lui. Le fer de lance du gonzo journalisme, adepte des drogues les plus diverses, avait ses héros littéraires, et ses propres solutions pour se faire la plume. 

L'épisode 12 de la saison 28 des Simpson sera un peu spécial : d'une durée exceptionnelle d'une heure, contre 20 minutes habituellement, il rassemblera la crème du rap américain pour une parodie de haut vol de Gatsby le Magnifique de Francis Scott Fitzgerald.

Quand Les Simpson décident de rendre hommage à Scott Fitzgerald, et son roman The Great Gasby, ils invitent les rappeurs Snoop Dogg, RZA et Common. Pas de confirmation encore, quant à la présence de Leonardo DiCaprio, mais un titre, d’ores et déjà : The Great Phatsby, et doit sortir ce 15 janvier.

Le classique des jeux de société, le Monopoly, a connu de multiples variantes au fil des années. Son éditeur, Hasbro, n’a jamais manqué une occasion d’apporter de nouvelles ressources à ce jeu de plateau. Les maisons et hôtels ont été modifiés pour décliner d’autres univers, parfois très littéraires. Il existe même une version Maths’opoly, pour les amateurs de chiffres. Alors, pourquoi ne pas foncer découvrir le Bookopoly ?

On pourra le recopier, consonnes en verts, voyelles en rouge, ce vers de Baudelaire, « Les chats puissants et doux, orgueil de la maison ». Une étude opérée par Facebook montre que, sur les 160.000 utilisateurs sondés, ceux qui apprécient les chats sont en réalité frappés par la solitude et la dépression. Chat-rmant.

Éditeur de génie, Maxwell Perkins a découvert et édité plusieurs grands auteurs américains du XXe siècle, dont F. Scott Fitzgerald, Ernest Hemingway et Thomas Wolfe. Il fait l’objet d’un biopic, intitulé Genius, qui sort aujourd’hui sur les écrans en France. C'est l’occasion de se replonger dans la vie de ce grand éditeur américain.

Une enquête publique menée par la Bibliothèque du Congrès a permis de mettre en avant 65 livres rédigés par des auteurs américains, qui ont une incidence significative sur la vie américaine. Les résultats de cet examen, dont la sélection a réservé son lot de surprises, ont été déclinés sous forme de l’exposition « American Reads », à découvrir jusqu’au 31 décembre prochain. Les visiteurs pourront y découvrir quelques ouvrages faisant partie de la division des collections spéciales de livres rares, manuscrits qui sont rarement vus par le grand public.  

Les Britanniques aiment-ils mentir sur leurs lectures ? Une enquête menée voilà sept ans affirmait déjà qu’ils affirmaient volontiers avoir lu 1984... sans l’avoir jamais ouvert. Arrivaient ensuite Guerre et Paix, puis l’Ulysse de James Joyce... Reste que 61 % des répondants reconnaissaient avoir menti effrontément en ayant parlé d’un livre... jamais lu.

L’époque va bientôt être aux sorcières, aux fantômes, aux terrifiants déguisements et aux enfants dans les rues qui réclament qu’on leur pourrisse l’hygiène bucco-dentaire avec des sucreries... En somme, Halloween arrive. Avec son flot de citrouille, la fête des morts et des bonbons nécessite que l’on fasse un petit effort de costume. Et si l’on est lecteurs, les idées ne doivent pas manquer.

La chocolaterie Shari’s Berries s’est lancée dans une idée à faire saliver plus d’un lecteur. Pour chaque livre, l’enseigne américaine propose, à l’aide d’une infographie alléchante, un dessert qui lui correspond. « Imaginez vous lire The help (La couleur des sentiments) tout en dégustant une tarte aux noix de pécan, ou vous plongez dans The Great Gatbsy (Gatsby le Magnifique) tout en grignotant un gâteau au citron », introduit le site. 

L’initiative est brésilienne et la prestation assurée par l’agence de communication Africa. Dans le cadre de la Journée mondiale du livre, l’éditeur L&PM a souhaité apporter une autre vision du livre, tout en encourageant à la lecture et au voyage, au sens propre. Ainsi, 1500 livres ont été distribués sur la ligne du métro – et chacun contenait 6 tickets. Lecture dans les transports ? Idéal.

À Long Island, Scott Fitzgerald écrivit son œuvre majeure, puissante et destructrice, The Great Gatsby. Le romancier avait de quoi être inspiré pour la bâtisse où il fit résider son personnage : sa propre maison, construite en 1918 et située à Great Neck. Entre 1922 et 1924, lui et Zelda vécurent heureux (ou pas) dans ses murs. 

Tolkien ne publia rien avant l'âge de 46 ans. Philipp Pullman a fait sortir 11 livres avant de devenir une star de la littérature. Si le succès ne vient pas toujours du premier coup, il est attendu par tous, et, du premier ouvrage au dernier, chacun espère devenir l'icône des librairies, le best-seller absolu. Bref, devenir bankable au possible, et ne plus vivre que de sa plume.

Le projet n'est pas inédit, plusieurs initiatives ont été lancées pour arriver à la reproduction intégrale d'une œuvre du domaine public, au travers du réseau de microblogging. Cette fois encore, le livre concerné par le projet, The Great Gatsby, est bien dans le domaine public.

Personne ne finit les livres achetés. Personne ? Eh bien grâce aux outils numériques, il est possible de mesurer la quantité de texte... qui a été laissée pour compte, une fois le livre acheté. Le docteur Ellenberg, professeur de mathématiques à l'université du Wisconsin s'est penché sur la question, en passant en revue les ouvrages achetés via la plateforme Kindle. Son inventaire est assez prévertien...

Une fois de plus, voici la preuve que la littérature est dangereuse : des étudiants américains réclament un message d'avertissement sur les ouvrages qui traitent de thématiques comme la guerre ou le viol. Une demande formellement enregistrée par l'université de Californie à Santa Barbara, mais qui aurait jailli à d'autres endroits. Parmi les livres concernés Things Fall Apart par Chinua Achebe, The Great Gatsby de Scott Fitzgerald, Mrs Dalloway de Virginia Woolf, et Le marchand de Venise.