Holtzbrinck Publishing Group

L'Union internationale des éditeurs (UIE, International Publishers Associations en version originale) décerne chaque année son Prix Voltaire : il salue les actions et le travail d'un éditeur, d'une éditrice ou d'une maison d'édition dans la défense de la liberté d'expression. L'appel à candidatures de l'édition 2022 vient de s'ouvrir.

Voici l’homme que tous les bibliothécaires des États-Unis ont fini par haïr : John Sargent, précédemment PDG de la maison Macmillan, vient d’annoncer son départ. Pas certain que le lobbying des bibliothèques en soit la cause. En revanche, on sait que des désaccords avec sa direction ont conduit à cette décision.

L’affaire provoque des haussements de sourcils, à juste titre : alors que l’éditeur britannique, comme d'autres, avait refusé catégoriquement de prendre part à l’offre d’abonnement ebook d’Amazon, voici qu’il fait volte-face. HarperCollins UK décide en effet d’abonder quelques centaines de titres de son fonds dans la plateforme Kindle Unlimited. Mais alors quoi ?

L'éditeur égyptien Khaled Lutfi a reçu le Prix Voltaire 2019, une récompense décernée par l'Union internationale des éditeurs (UIE, International Publishers Association) pour saluer le travail et la persistance des éditeurs face à la censure et à l'oppression. Fondateur de Tanmia Bookshop and Publishing, Khaled Lutfi a été condamné en février dernier à 5 années de prison.

Le Prix Voltaire, décerné par l'Union internationale des éditeurs (UIE ou IPA, pour International Publishers Association, en anglais), salue le courage et le travail d'éditeurs du monde entier qui se battent pour leur liberté de publier, contre la censure, exercée par le gouvernement ou par des groupes de pression. L'organisation dévoile aujourd'hui sa liste de 5 éditeurs encore en lice pour l'édition 2019 de la récompense.

Chaque année, l'Union internationale des éditeurs/International Publishers Association décerne son Prix Voltaire, qui vient saluer un éditeur pour son engagement dans la défense de la liberté de publication et d'expression. Il est possible de soumettre des noms au jury, dès maintenant et jusqu'au 20 février 2019. Le lauréat ou la lauréate sera annoncé.e en mai 2019.

L'Union internationale des éditeurs (UIE, IPA en VO, pour International Publishers Association) révèle la liste des éditeurs nommés pour le Prix Voltaire 2018. Cette récompense salue chaque année un professionnel de l'édition pour son engagement dans la défense de la liberté de publier, partout dans le monde. 5 éditeurs ont été nommés pour cette édition 2018.

L'Union internationale des éditeurs (UIE, IPA en VO, pour International Publishers Association) souhaitait récompenser les éditeurs qui se battent contre la censure et défendent la liberté de publier dans leur pays, avec le Prix Voltaire. Celui-ci a été décerné à Turhan Günay, éditeur au sein de la maison Cumhuriyet Books, et à la maison d'édition Evrensel, qui officient tous deux en Turquie.

L'Union internationale des éditeurs (UIE, IPA en VO, pour International Publishers Association) révèle la liste réduite des nommés pour le Prix Voltaire, qui salue le courage et la volonté des éditeurs qui se battent contre la censure, dans le monde entier. Ce prix annuel, doté de 9.500 € environ, sera décerné lors du Congrès annuel de l'Union internationale des éditeurs.

La fin de l'année se rapproche, et l'IPA, International Publishers Association aka UIE, Union Internationale des Éditeurs, propose un bilan économique pour les 15 premiers marchés du livre dans le monde. On trouve en trio de tête les États-Unis, la Chine et l'Allemagne, avec une croissance particulièrement forte pour la seconde. Au petit jeu du classement, la France s'en sort 7e.

La maison d'édition Holtzbrinck, au chiffre d'affaires de 1,64 milliard €, se réorganise, suite à la fusion de sa branche éducative avec Springer Science+Business (BC Partners) plus tôt cette année. La gestion de ses trois autres pôles principaux a été modifiée : l'édition (Macmillan Publishing), l'éducation dans le supérieur aux États-Unis​ (Macmillan Higher Education) et le marché numérique (Holtzbrinck Digital).

Les débats autour de l'utilisation des verrous numériques, ou DRM, sur les catalogues, ne sont pas calmés en Allemagne. Dès le début d'année, des libraires allemands avaient souligné toute la stupidité de ces moyens techniques de protection, qui ne font que rendre difficile, voire impossible, l'usage des livres numériques. Le Syndicat des éditeurs, le Börsenverein, avait appuyé cette demande des libraires.

La fusion entre Springer Science+Business Media et une grande partie de Macmillan Science et Education, annoncée en janvier par les deux maisons Holtzbrinck Publishing et BC Partners, a finalement débouché sur la création de Springer Nature, spécialisé dans les contenus pédagogiques et scientifiques.

Les groupes Holtzbrinck Publishing et BC Partners annoncent par communiqué de presse la fusion de leurs filiales consacrées aux contenus pédagogiques et scientifiques. La super-structure ainsi créée rassemble pas moins de 13.000 employés, et se place directement en quatrième position parmi les plus gros éditeurs du secteur, derrière Pearson, Reed Elsevier et Wolters Kluwer.

L'offre de lecture par abonnement d'Amazon, Kindle Unlimited, alimentera une grande partie de son catalogue avec son réservoir d'auteurs autopubliés chez Kindle Direct Publishing. Un moyen de s'assurer une vaste quantité de titres, quand bien même ils ne seraient pas les plus mis en avant. L'allemand Skoobe, qui propose un service similaire, s'est allié avec deux services d'autopublication pour faire de même.

Deux ans après que le règlement entre les éditeurs et le ministère de la Justice a été mis en place, le DoJ aurait rouvert certains dossiers. Dans cette affaire, les grandes maisons américaines avaient été impliquées, mais il semble que, pour cette partie, seules Hachette Book Group, Simon & Schuster et HarperCollins aient été entendus. 

Depuis plus de deux semaines maintenant, Amazon et Hachette se livrent une jolie guerre des nerfs : le premier met la pression au second pour obtenir de lui quelque chose. Si le second a confirmé qu'il y avait un problème, personne ne sait exactement de quoi il en retourne, et pas plus les auteurs qui sont pris dans un tir croisé entre leur éditeur et l'un de ses revendeurs. Mais une voix vient de s'élever, pour douter de tout ce qui se passe réellement.

Outre-Atlantique comme en Europe, les gouvernements semblent prendre peu à peu conscience de l'intérêt de diffuser les publications académiques en Open Access. Une volonté d'exporter les fruits de la recherche scientifique en format numérique peu coûteux, pour ouvrir l'accès à tous publics, et ce, via des revues gratuites pour le lecteur. Telle semble être l'optique en ligne de mire, notamment des dernières politiques en la matière de l'Union européenne, des Etats-Unis et du Royaume-uni.

Le  groupe d'édition allemand Holtzbrinck, en 2008, a créé son service dans le contexte des balbutiements de l'auto-édition. La pratique est devenue depuis l'un des modèles majeurs de l'industrie du livre, et a vu plus d'une plume autoéditée se propulser en tête des listes de best-sellers. Et avec ses 5 années d'expertise à placer l'auteur au centre de ses activités, epubli est devenu un acteur clé de l'auto-édition. Désormais, la firme allemande entend se développer à l'international, en ciblant en priorité les aspirants-écrivains du Royaume-Uni. 

L'édition canadienne traverse décidément une tempête qui vaut tous les Sandy : le groupe d'édition D&M Publishers, créé en 1970, vient de se déclarer en banqueroute. Et pour cause, puisque cet acteur historique de la culture nord-américaine est débiteur de 6 millions $, dont un peu moins de 4 millions à ses auteurs maison.

De l'autre côté de l'Atlantique, le ministère de la Justice a décidé de se pencher un peu plus sérieusement sur la possible entente entre les éditeurs étasuniens et Apple. L'idée est que les différents acteurs se seraient mis d'accord pour augmenter le prix de vente des livres numériques, tout en imposant un contrat d'agence qui impose un prix fixe aux revendeurs. 

L'implication d'Apple dans une possible distorsion de concurrence et une entente sur le prix de vente des livres numériques, outre-Atlantique, et peut-être même en Europe, restera l'un des plus gros dossiers de l'année 2011. Une implication mondiale, un exercice de lobbying puissant de la part de la concurrence de Seattle... le commerce du livre numérique avait pris une vilaine calotte. 

Le Département de la Justice américain vient de confirmer, peu après l'annonce d'une enquête diligentée par la Commission européenne, qu'une enquête était également ouverte aux USA, concernant le prix de vente des livres numériques. Et dans le collimateur, on retrouve, comme pour l'Europe, Apple et les grands groupes d'édition.

Dans un communiqué officiel, la Commission européenne vient d'annoncer l'ouverture d'une enquête anti-trust visant la vente de livres numériques. Cette procédure formelle d'examen vise à déterminer si plusieurs éditeurs internationaux se sont livrés « à des pratiques anticoncurrentielles affectant la vente de livres électroniques dans l'Espace économique européen ».