Humensis groupe

Editis, « un très grand groupe », rassurait une fois encore Denis Olivennes, invité de BFMTV, dans les Entretiens HEC. Fort de « très grandes [et] belles maisons », il a connu de nombreux propriétaires en vingt années, « pourtant, il est toujours là ». Charge désormais au nouvel actionnaire d’en tirer le meilleur. Certes, mais comment ?

Dans le cadre de ses missions, l'Arcom (Autorité de Régulation de la Communication audiovisuelle et numérique) doit s'assurer que l'accès des personnes en situation de handicap aux œuvres protégées par un droit d'auteur ou un droit voisin est facilité. Pour les livres numériques, bibliothèques ou associations spécialisées et agréées peuvent réaliser des adaptations, sans que l'éditeur ne puisse s'y opposer. Dans les faits, quelques problèmes surviennent parfois...

Né de la fusion de PUF et de Belin Éducation en 2016, Humensis n'a connu qu'une seule année dans le vert depuis 2018. Une situation délicate pour Scor, groupe de réassurance et actionnaire principal de la maison, qui devait compenser les 14,5 millions € perdus depuis 5 ans. Selon nos informations, Albin Michel et Gallimard seraient désormais seuls en lice pour son acquisition.

#PrixAutomne23 —La saison des prix de la rentrée littéraire est terminée et, une fois n'est pas coutume, les jurys se sont retrouvés autour d'un ouvrage en particulier, Triste tigre, de Neige Sinno (P.O.L). Son sacre permet au groupe Madrigall de conserver son pré carré au sein des récompenses de la rentrée, malgré la percée d'Humensis et de plusieurs maisons indépendantes.

Récemment, le Que sais-je ?, Les Origines du conflit israélo-arabe (1870-1950), s'est retrouvé en tête des ventes dans la catégorie Essais et Documents, révélant la volonté des Français de comprendre les racines de la discorde. Un véritable travail universitaire face à nos bien connus éditorialistes de plateaux télévisés, ou le jour et la nuit...

Fin septembre, Julien Brocard, secrétaire général des PUF était débarqué, quand Paul Garapon, le directeur, n'écopait pour sa part que d'un blâme : tous deux étaient accusés par le directoire d'« actes de déloyauté ». Des sanctions prises malgré les bons résultats de la maison. Y a-t-il quelque chose de pourri au royaume du défunt Denis Kessler ?

Dire que l’impatience gagnait relève du doux euphémisme : la date butoir du 30 octobre dépassée, le site de la Commission européenne a dû accuser le coup d’une forte fréquentation, dans l’attente de la décision. De fait, l’affaire M. 11153 concernant le rachat d’Editis par CMI entraînera la validation ou l’invalidation de l’OPA qu’avait déclenchée Vivendi sur le groupe Lagardère…

La seconde phase est enclenchée pour le groupe aux 54 maisons d'édition, de même que pour Gala : la vente. Propriétés de Vivendi, qui doit impérativement s'en défaire pour respecter les engagements pris auprès de la Commission européenne. Sans ces cessions, l’OPA tant désirée sur Lagardère faisait long feu. Reste que l’examen des candidatures n'a rien de la promenade de santé…

Le groupe éditorial Humensis fait l’actualité depuis plusieurs années, souvent pour de mauvaises raisons : une perte de plus de 14,5 millions € en 5 ans, la fermeture de la librairie des PUF à Paris, la mise en place d’une semaine de 4,5 jours pour économiser, et des rumeurs persistantes : un désir de vendre. Il semblerait, comme beaucoup le pensaient, que la disparition de Denis Kessler, PDG du groupe actionnaire Scor depuis 2002, ait accéléré les choses… 

Entre les résultats 2022 affichant une nouvelle année de pertes et le décès de Denis Kessler, PDG de Scor, la maison-mère, le groupe Humensis agite de nouveau le Landerneau. Pourtant, les liens entre le réassureur et sa filiale éditoriale ne seraient pas distendus, au contraire, apprend ActuaLitté.  

Énième rebondissement dans l’examen du dossier Vivendi/Lagardère : Bruxelles reporte son report, après que lui ont été communiqués de nouveaux documents. Le groupe de Yannick Bolloré a fait part de remèdes supplémentaires, et la Commission européenne repousse encore sa décision au 14 juin. Attendue le 19 avril, la date avait déjà été repoussée au 23 mai.

On le sait, le groupe éditorial Humensis n’est pas dans une grande forme financière. 14,5 millions € de perte en 5 ans, fermeture de la librairie des PUF de Paris, semaine de 4,5 jours pour faire des économies... Dernière affaire en date : Olivia Recasens, directrice des éditions humenSciences, est débarquée par le nouveau directoire du groupe selon La Lettre A, et la maison qu’elle pilote, arrêtée.

Le groupe Humensis procéde à une expérience RH dans ses maisons : proposer une semaine de 4,5 jours aux salariés qui le souhaiteraient. Autrement dit, quatre journées dans les bureaux, une matinée en télétravail et un vendredi après-midi offert. Une mesure présentée comme un bienfait pour les employés, avec de réelles incidences sur la santé de l'entreprise, pas vraiment au beau fixe. 

Héloïse d’Ormesson, présidente des éditions d’Ormesson, a été élue, le vendredi 17 février 2023, Présidente du groupe Littérature générale du Syndicat national de l’édition (SNE). Elle succède à Muriel Beyer, directrice et fondatrice des éditions de l’Observatoire et directrice adjointe du groupe Humensis, occupait le poste depuis octobre 2018.

À l’heure du bilan annuel, le groupe éditorial Humensis n’en finit plus de sombrer. Depuis 5 ans, il totalise 14,5 millions € de perte. Détenus par Scor, le réassureur présidé par Denis Kessler, plusieurs pôles mettent à mal les comptes de la structure. Départs d’auteurs phares, maison dans le rouge, une presse en déroute, autant d’éléments qui nourrissent les déconvenues financières du groupe.

Humensis, groupe d’édition français spécialisé dans la diffusion du savoir et des connaissances, annonce aujourd’hui une modification de sa structure de gouvernance et de ses organes de direction. Et confirme des informations diffusées la veille, concernant les membres de son conseil d'administration. 

« Si la vérité blesse, c’est la faute de la vérité », assurait le frais ministre de l'Économie lors d’une conférence de presse. Mai 2004, Nicolas Sarkozy prenait fraîchement ses quartiers à Bercy et l’Élysée était encore loin. Depuis, et sans rouler des épaules — plutôt des mécaniques — le voici prodigue de conseils aux professionnels du livre. Administrateur du groupe Lagardère, donc de Hachette Livre, la fonction lui donnerait des ailes ?  

Le mandat de l’actuel directeur général d’Humensis, Frédéric Mériot, touchait à sa fin au 31 décembre. Le conseil d’administration, comme prévu, a tout juste acté le changement de statut de l’entreprise. Et en découle la nomination des membres du directoire, par le Conseil d’administration. Comme prévu, Muriel Beyer, directrice générale adjointe, en fera partie.

Boomerang, sur France Inter, puis 21 CM /21 CM+ pour le compte de Canal +, avant de quitter la chaîne cryptée et d’embrayer avec Plumard pour BrutX : Augustin Trapenard poursuit sa carrière de critique littéraire désormais dans La Grande Librairie. Succéder à François Busnel, pas une mince affaire. Depuis le 7 septembre, sur France 5, le voici officiant au contact des auteurs les plus divers et variés. Et soigneusement sélectionnés ? 

La présentation des résultats financiers du groupe Humensis, filiale du réassureur Scor, avait montré les limites de l’entreprise. L’année 2021 faisait plonger les comptes avec 4,2 millions € de perte pour 41,4 millions € de chiffre d’affaires. Et la perspective d’une cession se profilait — avec désormais un peu plus de lisibilité dans les projets de Scor.

La publication des déclarations d'intérêts et de patrimoine des responsables politiques rappelle toujours qu'on ne prête qu'aux riches – y compris dans les plus hautes fonctions de l'État. Elle permet aussi de contrôler et d'éviter, autant que faire se peut, les conflits entre la vie privée et les décisions publiques. Tout en appréciant à sa juste valeur le succès en librairie des ministres auteurs...

Au terme d’une année 2021 qui a fait plonger le résultat du groupe, le devenir de Humensis — fruit de la réunion entre Belin et Presses Universitaires de France — devenait complexe. Avec plus de 4,2 millions € de pertes, pour 41,4 millions € de chiffre d’affaires, l’entreprise connaissait sa pire année depuis sa création.

La Bibliothèque nationale de France a vécu quelques mois mouvementés, avec un mouvement de grève très suivi, mais le dernier rapport d'activité porte sur l'année 2021. Celle-ci, malgré la levée de restrictions mises en place pendant la crise sanitaire, voit la fréquentation de l'établissement toujours à la traine par rapport à 2019.

À compter de ce mois de juin, Lola Bromberg prendra en charge les relations presses au sein des éditions des Équateurs. Un poste aux multiples ramifications, puisqu’il s’accompagnera d’une mission de Relation librairies. Le tout entamé avant l’été, pour amorcer la rentrée littéraire de la maison.

Le conseil d’administration de l’Asfored, présidé par Frédéric Mériot (Directeur général d’Humensis), annonce que l’association qui regroupe plusieurs dizaines d’éditeurs de toutes tailles, représentatifs de la diversité de leur secteur, est entrée en négociations exclusives avec le Groupe AD Education. Et ce, pour une alliance sur ses activités de formation aux métiers de l’édition. 

La rentrée 2022 sera marquée par l’arrivée d’une toute nouvelle collection chez Armand Colin, intitulée Le vent se lève, et la parution de 3 nouveautés entre mars et juin 2022.

Le collectif littérature du Groupe Delcourt décide de se renforcer. Pour accompagner le développement des trois labels de littérature du Groupe, Estelle Charmet prend la responsabilité du poste de la Relation libraires et salons.

Poursuivant son passage en revue de l'industrie du livre, l'organisation non gouvernementale WWF livre un nouveau rapport, cette fois consacré aux livres scolaires. Écoconception peu mise en avant et absence de politique de recyclage à grande échelle alourdissent le poids écologique de ce type d'ouvrages, selon le WWF, qui recommande notamment de leur appliquer la Responsabilité Élargie du Producteur (REP).

Le conseil d’administration de l’Asfored, a entériné aujourd’hui la nomination de Frédéric Mériot à la tête de son conseil d’administration. Après 3 ans à la tête du Conseil d’Administration de l’Asfored, Guillaume Dervieux passe le relai à Frédéric Mériot alors Trésorier et membre du conseil d’administration. 

Spécialisé dans les éditions de livres sur les sciences, les sciences humaines et l'histoire, à travers les éditions PUF, Belin, L’Observatoire, Les Équateurs, Passés composés, humenSciences et Le Pommier, le groupe Humensis lance une nouvelle collection de poche, Alpha. L'ambition : « Pérenniser l’accès aux meilleurs ouvrages des maisons du groupe. » Quarante titres annuels enrichiront la collection Alpha qui « entend ainsi devenir une référence dans le domaine de la connaissance durable ».