Kobo quais polar

Le festival Quais du Polar, rendez-vous incontournable du genre polar en France, est reconnu à la fois par les professionnels du livre et de l’édition, ainsi que par le grand public. Depuis 2005, des auteurs de 58 nationalités différentes ont été invités. Du 2 au 4 juillet, roman, BD, série TV, cinéma, tables-rondes, rencontres et plus encore seront au rendez-vous ce cette 17e édition.

Kobo by Fnac s'associe avec Quais du Polar et la revue Alibi, pour un concours de nouvelles policières. Sur la thématique « Nature et environnement : nouveaux terrains de jeux du crime ? », les auteurs sont invités à soumettre leurs textes avant le 31 mars : le ou la lauréate sera invité(e) à la manifestation lyonnaise pour l’annonce des résultats.

Pour son édition 2020, Quais du polar se sera sans surprise tourné vers les réseaux sociaux et autres solutions de streaming : dématérialiser le festival ne signifie pas pour autant en revoir tous les rendez-vous, et de nombreux prix littéraires ont été décernés à l'occasion de la manifestation. Félines, de Stéphane Servant (Rouergue) est sorti vainqueur du Prix Polar en Séries 2020.

Amateurs de noirceur et de sueurs froides, bonsoir : dans le cadre de la manifestation Quais du polar, Kobo organise un concours de nouvelles, parrainé par le romancier Olivier Norek. Une thématique très numérique et web a été choisie cette année : « Quand Big Data se fait enquêteur, ou comment les données peuvent aider à résoudre les enquêtes. »

La quatorzième édition de Quais du Polar s’est achevée ce 8 avril, dans une véritable euphorie. Après 3 jours de manifestations littéraires et cinématographiques qui avaient mis l’Italie à l’honneur, ce sont plus 50 lieux de la métropole et de la région qui ont mis le noir à l’honneur. 

Fort de ce que son catalogue de livres audio s'ouvre en France, Kobo a profité de Quais du polar pour se mettre au diapason. Une enquête policière est proposée à l’Hôtel de Ville, d’un genre nouveau. Et c’est Police de Jo Nesbø qui est au cœur de cette vaste mise scène, où les visiteurs sont invités – interrogatoire (musclé ?) à l’appui.

En marge du festival Quais du polar, nous avons eu l'occasion de discuter et d'échanger avec deux personnes, équipées d'un Kobo. Pourquoi ? « Parce que ça m'a paru être la solution la plus simple, et surtout, ça restait un peu français. » Faute avouée, à moitié pardonnée, n'est-ce pas ?

C'est comme le problème de l'oeuf de Christophe Colomb : on n'a pas besoin de définir l'oeuf (ni même s'il a précédé la poule ou pas), juste de savoir s'il faut le cuire avant de l'ouvrir