Philippe Artières se définit comme un historien de l’en deçà, des écrits ordinaires, jusqu’aux bas-fonds. Nous l’avions découvert avec Le Livre des vies coupables paru chez Albin Michel en 2000. Autobiographies d’assassins écrites par des condamnés à la fin du XIXe siècle à la demande du professeur de médecine légale Lacassagne à des fins d’expérimentation en criminologie.