EDITO – Personne n’est dupe : depuis qu’Amazon a perdu le contrôle du prix de vente des livres numériques, l’ebook a été relégué en nationale 3, voire division départementale. Et ce, au profit de l’audiolivre, qui fait recette étonnamment : la corrélation entre l’explosion de l’ebook (et son pseudo déclin), et le boom du format audio ne devrait pourtant pas surprendre…