Pas de trêve pour les braves, moins encore pour les pirates : les grands éditeurs japonais poursuivent leur traque contre les sites qui mettent leurs oeuvres à disposition. En 2018, le site Mangamura en avait fait les frais – il comptabilisait quelque 620 millions de visiteurs entre septembre 2017 et février 2018. Et maintenant, son créateur est directement visé… Le préjudice que Mangamura avait porté à l’industrie était estimé à 319,2 milliards ¥ (près de 2,5 milliards €), sur la période.