Si la tendance globale est à la suppression des amendes pour retards de retours sur les documents empruntés, la Ville de Montréal décide d’en prendre le pli. Selon Le Devoir, l’opportunité découle du mouvement Fine Free qui, depuis 2017, motive la fin de ces ponctions. Sauf qu’elles représentent parfois des apports financiers difficiles à bouder.