Le ministre de l'Éducation britannique Nick Gibb a sévèrement critiqué les éditeurs scolaires du pays, et a appelé à une « renaissance » en la matière. Et pour cause, puisque les manuels scolaires du pays ne font plus référence, aussi bien auprès des élèves que des professeurs, à l'inverse de ceux de la Chine, de la Finlande ou des États-Unis.