Il y a des romans où la réponse à cette question se construit dans l’ombre des hommes effacés par la terrible gomme de l’Histoire, drame, tragédie, méditations. D’autres choisissent les voies plus aériennes du bonheur ou de ce qui tente de lui ressembler à force de répétitions et d’application. Les hommes sont si malhabiles dans le bonheur et si magnifiques dans la joie de sa reconstruction…