À l’automne dernier sortait la traduction tchèque de La Fête de l’insignifiance, dernier roman d’un auteur qui fut d’abord tchèque, puis français dans la deuxième moitié de sa vie : Milan Kundera. Et il s’agit probablement du dernier ouvrage de cet auteur qui aura considérablement contribué à rendre la littérature tchèque visible à travers le monde. Ceci nous amène à nous demander s’il existe actuellement, dans la littérature tchèque, d’autres auteurs capables d'interpeller à ce point les lecteurs du monde entier. Par Pavel Mandys.