Les chansons de salle de garde sont toujours, de son propre aveu, du goût de Georges Brassens. Mais tout porte à croire que les textes réunis dans un livret de chants de l'US Air Force n'auraient pas vraiment séduit le parolier. Viol, pédophilie, homosexualité, violences sexuelles : les chansons n'ont pas vraiment la ferveur patriotique attendue.