akira kurosawa

Malgré des résultats au Japon sidérants en 2023, le propriétaire sud-coréen de la plateforme piccoma, Kakao Entertainment Corp. enclenche une restructuration. Les nouveaux dirigeants se sont engagés auprès des actionnaires à rechercher une croissance organique désormais.

À 83 ans, l'acteur américain sera à l'affiche d'une nouvelle adaptation du Roi Lear de William Shakespeare. Pour l'accompagner, Jessica Chastain jouera la fille ainée, Goneril. Le film est réalisé par Bernard Rose (Frankenstein, 2015).

Les 2 et 3 février, a lieu le Festival des Langues classiques. Le thème choisi pour cette année, en résonance avec les Jeux Olympiques qui approchent, est « Des corps en jeux ». Un programme composé de rencontres littéraires et d'ateliers artistiques, autour des langues chinoise, grecque et latine. 

HIVER 2024 - Shirô Kakei, avocat, a chaque soir hâte de rentrer chez lui pour préparer de savoureux petits plats à son compagnon, Kenji Yabuki, coiffeur. 

Rashōmon, film culte d'Akira Kurosawa sorti en 1950, est de retour au cinéma à l'occasion d'une restauration 4K inédite. L'occasion de redécouvrir ce chef-d’œuvre inspiré de deux contes d'Akutagawa Ryunosuke, Dans le fourré et Rashōmon.

À partir de ce mois de juillet et jusqu'en 2022 pour certains films, Arte propose au public un Cycle Cinéma japonais, avec 13 films et un documentaire inédit, à voir sur la chaîne et sa plateforme arte.tv. Plusieurs adaptations se trouvent dans le programme, qui couvre une période de 1951 à 2018.

Le réalisateur Safy Nebbou adapte le livre de Camille Laurens, Celle que vous croyez, publié en janvier 2016 par Gallimard. Il s'est associé à Julie Peyr pour adapter l'œuvre originale sur grand écran. Devant la caméra, Juliette Binoche, François Civil ou encore Nicole Garcia.

Le réalisateur japonais Akira Kurosawa décédé en septembre 1998, avait laissé dans ses cartons un projet ambitieux. Il souhaitait porter une adaptation du Masque de la mort rouge, le livre d’Edgar Allan Poe. Mais son film ne vit jamais le jour, même si les travaux préparatifs avaient débuté.

Une grande rétrospective Akira Kurosawa est lancée depuis le 25 janvier 2017 : l'occasion de redécouvrir ses films, mais aussi ses inspirations et ses obsessions. En 1962, le réalisateur japonais adapte pour la première fois un roman de Shūgorō Yamamoto, Jours de Paix.

En 1952, avec Vivre, Akira Kurosawa réalise un film en partie inspiré du roman La mort d'Ivan Ilitch de Léon Tolstoï. Le film est de retour dans les salles en version restaurée le 25 janvier 2017, avec au casting Takashi Shimura, Shin'ichi Himori et Haruo Tanaka.

Shūgorō Yamamoto est l'un des pseudonymes les plus célèbres de Satomu Shimizu, romancier japonais. Auteur de livres pour enfants et de romans policiers, il préfère de loin les œuvres historiques qu'il présente sous la forme de romans populaires. En 1965, avec Barberousse, Akira Kurosawa adapte son roman Akahige shinryotan.

Akira Kurosawa est surtout connu pour ses films historiques, Les Sept Samouraïs en tête, mais le réalisateur japonais s'est aussi illustré dans une veine plus réaliste. Chien enragé décrit ainsi les bas-fonds de Tokyo à l'occasion d'une enquête inspirée par le maître Georges Simenon lui-même...

C'est l'aboutissement d'un vieux rêve pour Martin Scorsese : le réalisateur a finalement adapté le livre de Shūsaku Endō, Chinmoku, soit Silence, publié en 1966 et considéré comme l'œuvre principale de cet écrivain japonais catholique.

Le film Dans les Forêts de Sibérie​, réalisé par Safy Nebbou, mettra en scène l’acteur Raphaël Personnaz. Il est adapté du best-seller de Sylvain Tesson (Les Forêts de Sibérie, éd. Gallimard) et sortira en salles le 15 juin 2016.

Quand on veut des adaptations de Shakespeare, on peut penser à Akira Kurosawa, mais aussi à Kenneth Branagh : l'acteur et réalisateur britannique est véritablement féru des pièces du Barde. Pour Beaucoup de bruit pour rien, en 1993, il réunit Emma Thompson, Richard Briers, Keanu Reeves et lui-même pour porter à l'écran ces histoires d'amour parasitées de quiproquos...

Dans le cadre de la rétrospective qui lui est consacrée, un nouveau film de Kurosawa ressort en salles. Après une adaptation de Hamlet (Les Salauds dorment en paix), le réalisateur prend une nouvelle fois le tragique shakespearien comme toile de fond, avec Le Roi Lear, tout en l'inscrivant dans un contexte bien particulier. La pièce a été traduite, en France, par Olivier Py aux éditions Actes Sud. 

Réalisé par Kenji Mizoguchi, le film raconte l’histoire d’une fille née dans une famille aristocratique et introduite à la cour impériale de Kyoto. Mais O'Haru tombe amoureuse d’un homme d’une classe inférieure. S’en suit une série d’humiliations et de déceptions. Le rôle principal est tenu par Kinuyo Tanaka. 

Comme c'est le cas pour Entre le ciel et l'enfer, Les Salauds dorment en paix d’Akira Kurosawa ressort en salles dans le cadre d'une rétrospective. Un de ses films noirs les plus engagés contre la corruption qui minait le milieu des affaires dans le Japon de la fin des années 50. C'est l'occasion de revoir plusieurs oeuvres du réalisateur des Sept Samouraïs et de le voir revisiter le genre du thriller à sa façon. 

Cette semaine ressort en salles une flopée de classiques du japonais Akira Kurosawa, maître réalisateur des Sept Samouraïs. Mais ce n'est pas tout : Entre le ciel et l'enfer permet ainsi de découvrir un Kurosawa qui s'essaie au thriller avec un certain succès, en adaptant le roman Rançon sur un thème mineur d'Ed McBain, signé sous le nom d'Evan Hunter.

La rétrospective consacrée à Akira Kurosawa ressort Le Château de l’araignée, une autre adaptation de William Shakespeare, à travers sa pièce Macbeth. Kurosawa s’était déjà inspiré du Hamlet de Shakespeare, avec Les Salauds dorment en paix. 

Pour clore cette rétrospective Kurosawa, Yojimbo, traduit en Le Garde du Corps en français au moment de sa sortie en 1961. Encore une fois, Kurosawa retrouve Toshirō Mifune et, encore une fois, il s'inspire de la littérature occidentale pour son scénario. Cette fois, c'est du côté du roman noir qu'il faut chercher...

Nul joueur ayant possédé un NES – oui, oui, ce n’est pas tout jeune... – ne peut être passé à côté de Mega Man. Ce personnage développé par Akira Kitamura, pour le compte de Capcom, était un robot à visage humain, une sorte de Robocop sympathique, sur jeu de plateforme. Débutée en 1987, la franchise est devenue un véritable carton pour Nintendi, avant de se développer sur d’autres consoles.

Que les fans se rassurent : Hayao Miyazaki est un habitué des annonces de retraite, mais leur versatilité est au moins égale à celle de Philip Roth, dans un autre genre. Le cofondateur des studios Ghibli assure régulièrement qu'il ne touchera plus au crayon et à la planche à dessin, avant de se raviser. Il a reçu hier une récompense pour l'ensemble de sa carrière de la part de l'Academy of Motion Picture Arts and Sciences, l'occasion de rappeler qu'elle n'était pas terminée.

L'industrie du divertissement au Japon a connu un véritable boom dans le domaine de la production cinématographique. En 2012, 554 films ont été produits, soit plus du double de ce que l'on pouvait observer entre 1950 et jusqu'à la fin des années 90. L'université de East Anglea, basée à Norwich, vient de se pencher sérieusement sur ces données, pour comprendre les raisons d'un pareil enthousiasme...

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