La question avait déjà été posée en 2013, mais la réforme européenne du droit d'auteur est une nouvelle occasion de la mettre sur la table : en apparence, rien ne différencie un livre papier d'un livre numérique, à l'achat... « Mais les différences légales apparaissent au moment où les consommateurs veulent revendre, prêter ou donner une œuvre au format numérique », note Wolfgang Reimer, secrétaire d'État au ministère allemand des Affaires rurales et de la protection des consommateurs du Bade-Wurtemberg. Qui souhaite qu'une législation vienne faire cesser l'inégalité entre les consommateurs.