Salvador Dali avait quelque chose de magique, à la croisée du surréalisme le plus extravagant, mais aussi de la magie, du fantastique, et certainement aurait-il adoré les possibilités ludiques que le jeu vidéo a apportées. Entre 1933 et 1935, l’artiste travailla à une réinterprétation de L’Angelus de Jean-François Millet. Et le « plus grand connard du XXe siècle » voici parti dans l’exploration du « champ » des possibles.