cochons hommes Orwell

Dans un futur sinistre, des hommes-cochons, produits d’une modification génétique qui a échappé à ses concepteurs, travaillent sans relâche comme esclaves d’humains. Ils nourrissent une société qui leur demeure inaccessible, mentalement conditionnés à la soumission. Ici, on ne pose aucune question, sous peine de devenir l’un de ces porcs abattus qui serviront de repas aux maîtres.

Le classique de George Orwell, La Ferme des animaux, fera un retour remarqué sur Netflix, qui s'est offert les droits de diffusion du long-métrage qui sera réalisé par Andy Serkis, déjà à l'œuvre aux côtés de Peter Jackson pour The Hobbit et pour Mowgli. La production du film sera assurée par Matt Reeves (Cloverfield, La Planète des singes : Suprématie).

L’illustrateur israélien Avi Katz a été sanctionné par un licenciement pour sa caricature cochonne des leaders nationaux. Lorsque les dirigeants politiques israéliens se réjouissent d’une nouvelle loi discriminante à grand renfort de selfies diffusés sur les réseaux sociaux, l’artiste n’a pas hésité à réinterpréter la scène à la sauce Orwell.

Donald Trump entame donc des campagnes d’intimidations à travers Twitter, en menaçant l’Iran – alors que le président Hassan Rohani demande aux USA de se montrer moins hostile envers son pays. De son côté, Stephen King ne prend pas de vacances dans sa campagne anti-Trump. Et la semaine passée, il rappelait le président américain à ses classiques...

La Ferme des animaux fait partie de ces romans indémodables : en signant cette fable qui reflétait les dérives des régimes communistes autoritaires, George Orwell préparait le terrain, quelques années avant 1984. Son classique va devenir un jeu vidéo, créé par une équipe indépendante qui envisage une sortie en 2018.

L’élection de Donald Trump n’a pas fini de susciter des réactions. Le futur président des États-Unis semble relativiser ses discours et son sens de la polémique, mais sa présence n’inquiète pas moins. Neil Jomunsi, proche de la rédaction de ActuaLitté au point d’avoir son propre mug, propose de répondre par un Appel à lire.

Si le 1984 de George Orwell avait connu un petit regain d'actualité avec l'affaire Snowden et les écoutes planétaires des USA, l'empire de l'Oncle Sam avait saisi la pertinence de l'auteur dès la Guerre Froide. Et puisque la culture devient une arme en temps de guerre, La Ferme des Animaux faisait alors l'effet d'une bombe nucléaire sur les soutiens de l'URSS.

Jean-Pierre Martin propose aux lecteurs de découvrir la dernière maison du visionnaire anglais à travers son essai publié hier chez Gallimard L'autre vie d'Orwell. Il s'agit de la ferme de Barnhill, sur l'île de Jura en Écosse où il écrivit son plus grand chef d'oeuvre. Et le

L'acteur Andy Serkis, qui incarnait joyeusement Gollum dans la trilogie du Seigneur des Anneaux, et Bilbo le Hobbit va s'attaquer à une adaptation des plus intéressantes. En effet, La ferme des animaux, la célèbre satire de George Orwell. La réalisation sera financée par The Imaginarium, studio cofondé par l'acteur, justement. 

« Si on enlève toutes les intrigues politiques que reste-t-il dans le livre ? » Auteur et universitaire de renom, Qiu Xiaolong n'a pas toujours été un américain qui écrivait sur la Chine. Avant Tian'anmen qui le décide à rester aux États-Unis pour se consacrer à l'oeuvre de T.S Eliot, l'homme fut témoin des sévices endurés par son père dans la révolution culturelle. De son regard d'expatrié et dissident littéraire, Qiu a produit neuf enquêtes sur les bas-fonds du miracle chinois. Voyant le moulinet de la censure effacer toute la sève contestataire de ses romans, il a décidé l'arrêt de la publication en Chine continentale, mais continue d'écrire en anglais pour débusquer les travers du socialisme à la chinoise.