Traduire sans trahir, ou traduire ET trahir : pour un auteur, donner à son texte une dimension internationale, en passant par le biais d’une traduction représente l’aboutissement. Encore faut-il qu’un éditeur ait accepté le texte dans sa langue originale, pour le passer dans la langue de son marché. Pour l’écrivain indépendant, le parcours peut être plus rapide, mais également plus coûteux. Habitué de nos colonnes, Neil Jomunsi s’apprête à tenter le pari d’une traduction participative. Pari audacieux...