Les temps sont durs pour la liberté d'opinion. La Turquie et la Chine, chacune à leur manière, tentent d'endiguer les informations qui ne servent pas leurs gouvernements respectifs, et c'est Wikipédia qui en fait les frais. L'encyclopédie participative est soit bannie d'internet, soit carrément remplacée. L'excuse est facile, mais pas sûre qu'elle suffise à faire taire les opprimés.