Que tout le monde se rassure, le recours à un fichier de contacts journalistiques, pour les besoins de la promotion du livre de Marlène Schiappa n’est donc pas problématique. Et ce, quand bien même c’est le service de presse du Serétariat d’Etat qui s’est chargé d’envoyer l’invitation. La CNIL, saisie par Anticor, vient d’assurer que rien ne clochait.