Quand des sites de partage/piratage ferment, les cris de désespoir et les hochements de tête satisfaits se mêlent. Perte d’accès à la culture pour les uns, manque à gagner pour les autres. Pour moi, c’est la fermeture d’un de ces comptoirs qui m’offraient gratuitement ce que Facebook et Google me font payer 50 euros par jour pour la même denrée : de la visibilité.