L’Histoire, la grande, n’a pas gardé de bons souvenirs de livres en train de brûler. L’idée que la culture soit jetée en pâture aux flammes n’a de toute manière jamais eu bonne presse – du moins quand la presse a le droit de s’exprimer. Oublions donc l’autodafé, et envisageons la combustion spontanée d’un livre... Et si la scène se déroulait dans les transports en commun, que diraient les passants ?