Même s'il s'agit d'un spin-off sequel, Naruto reste une grosse licence pour son éditeur français Kana. Le problème, quand on parle de manga, c'est que la contrefaçon n'est jamais bien loin : les fans, impatients, préfèrent télécharger les œuvres traduites par des équipes bien organisées, pour coller au plus près. La riposte s'appellerait simultrad. Et en fait rire certains...