Ah, les classiques : ces œuvres qui ponctuent une scolarité, véritables jalons dans un apprentissage. Autant d’œuvres à lire, souvent plus par obligation que par plaisir. Eh bien, un certain Vyctor Ego diffuse depuis quelques jours une « traduc-parodie », où Le Cid de Pierre Corneille passe à la moulinette du « çaisfran ». Une modernisation et un dépoussiérage loin d’être déplaisants !