POÉSIE – Avec Cinéma inferno, recueil à quatre mains, Jean Marc Flahaut et Frédérick Houdaer proposent une histoire fragmentaire du cinéma des années 70-80. C’est culotté et bien envoyé. On retrouve l’originalité et l’iconoclastie de l’un et l’autre des deux poètes, sans pouvoir toujours distinguer, dans chaque texte, la voix de l’un ou de l’autre.