Pour un journal de l’envergure du New York Times, l’accusation fait mal. Quand bien même Jill Abramson n’en est plus la rédactrice en chef, une accusation de plagiat équivaut à une très vilaine communication. Dans son dernier livre, Merchant of Truth, l’intéressée aurait effectué des emprunts multiples, dissimulant à peine ses copier-coller.