« On ne sort pas de la lecture d’un livre de Cabanis – n’importe lequel – sans éprouver le désir de découvrir les précédents ou les suivants, de remonter jusqu’à la source ». Voilà ce qu’Angelo Rinaldi déclare dans son discours de réception à l’Académie, en 2000, lorsqu’il prend place dans le 20e fauteuil occupé jusqu’alors par Cabanis ; et force est d’admettre qu’il a absolument raison. Pendant ces — courtes — vacances, j’ai lu à la suite trois romans de Cabanis, et mon envie de lire les autres est toujours aussi forte...